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 Quand l'étourderie s'en mêle... | PV Jeffou

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AuteurMessage
Aileen J. Sanders
─ Elève ─
─ Sixième Année ─

Aileen J. Sanders

─ Année d'Etude : 6ème Année
─ Baguette : Bois de lierre ; plume de licorne ; 25cm.
─ Star sur l'Avatar : Hayden Panettiere
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Quand l'étourderie s'en mêle... | PV Jeffou Vide
MessageSujet: Quand l'étourderie s'en mêle... | PV Jeffou   Quand l'étourderie s'en mêle... | PV Jeffou EmptyVen 2 Oct - 19:51

A. & J.


    Cela faisait deux semaines que les élèves étaient de retour au château. Deux semaines que mon calvaire avait touché à sa fin. Car pour moi, les vacances n’étaient pas un cadeau, mais un châtiment cruel et presque invivable. Bien que j’y survécût chaque année, le supplice était profond et avait déteint sur mon moral, qui n’était déjà pas d’une grande stabilité en temps normal. J’avais beau sourire à qui mieux mieux, rire aux blagues et aux conneries de mes camarades, profiter de chaque minute de mon existences avec mes amis et mon chéri, je n’en restais pas moins une jeune fille instable. J’avais pourtant passé ma période « qui suis-je ? », ou encore « quel sens donner à ma vie », ma période de haine envers le monde entier et de rebellion, ma période mélancolie ou je me ressassais le passé, bref j’avais passé ma période d’adolescente. Tout ça était à présent derrière moi, et je ne comptais pas ramener le tout sur le tapis. Néanmoins, chaque grande vacance, ceci était inévitable. Essayer d’oublier une personne à qui vous avez donné votre amour est impossible si cette personne en question reste présente dans votre vie. Il en allait de même pour le passé : vous pouvez essayer maintes fois de l’oublier, il vous rattrapera toujours, surtout si vous êtes forcé de vivre le présent dans la même ambiance, le même lieu, avec les mêmes personnes qu’autrefois. En ce qui me concernait, l’idée que je sois restée dans l’ombre pendant tant d’année m’était insupportable. Retourner dans l’orphelinat dans lequel on m’avait abandonnée – car à mes yeux, il était bel et bien question d’abandon – était d’une cruauté majeur. Je passais alors mes deux mois à haïr Poudlard et le fait que l’administration n’accepte pas de prendre en charge les élèves qui n’avaient ni parents, ni proches, ni domicile fixe, pendant ces deux petits mois qui me paraissaient alors une éternité. C’était la raison pour laquelle, deux semaines après la réouverture de cette école qui était également mon chez-moi, j’affichais une mine peu enthousiasme : il me fallait juste un petit laps de temps avant d’oublier ces mauvaises idées, de redevenir la sorcière que je suis : enjouée, impulsive, têtue mais attachante. Au fond, je devais bien avouer que malgré ma rancœur, mon esprit était souvent en proie à des crises d’euphorie.

    En ce moment, j’étais plutôt d’humeur morose. Mes livres de potion, métamorphose et soins aux créatures magiques sous les bras, je me dirigeais vers les classes de cours. Ceux-ci ne commençaient que dans une demi-heure, mais cela faisait une heure que je me tournais les pousses dans la salle commune de gryffondor qui, chose pourtant rare, était déserte en cette après-midi. Le temps n’était guère beau, un petit rayon de soleil de temps en temps, mais il fallait croire que les élèves voulaient profiter le plus possible de ces dernières chaleurs avant les gelées de l’hiver. Je les comprenais mais ne partageais pas cette envie ; j’avais déjà eu ma dose de soleil pendant cet été plus que chaud. Et puis, une des mes grandes particularités était que j’appréciais d’avantage la pluie que le soleil. Je ne me sens à aucun moment plus libre que lorsque les gouttes d’eau glaciales tombent sur mon visage délicat, sur mes paupières fermées, contournent mes lèvres pour glisser dans mon cou… Rien que d’y penser, j’en attrapai des frissons et esquissai un sourire agréable. L’envie de retrouver cette impression m’envahit telle l’odeur de jus de citrouille qui vous effleure les narines alors que vous êtes affamés. Je soupirai d’impatience.

    C’est alors qu’une ombre me surpris au coin d’un couloir, me bousculant au passage avec un « ah, tu pouvais pas faire attention ? » qui me rendit folle de rage. Mes livres en étaient tombés, j’avais failli m’étaler à terre, et tout ce qu’il ou elle avait à me dire était de faire plus attention. J’en restais outrée. Je me retournai vivement et reconnu de visage angélique d’une serdaigle de cinquième année. « Quand on ne sait pas faire deux choses en même temps, à savoir marcher et regarder devant sois, on la ferme. » lui lançai-je avant de me pencher sur mes livres. Je sentis son regard noire me dévisager par derrière et n’y prêtai pas une attention. Me relevant, je continuai ma route, l’humeur encore un peu plus noire que d’habitude. Avant d’attendre devant la porte du cours comme une imbécile à cheval sur la ponctualité, je décidai de faire une halte aux toilettes. J’entrai dans les premières toilettes que je trouvai sur mon passage, le regard absent. Je m’arrêtai devant le miroir et étouffai un cri d’horreur devant la touffe de cheveux dressés sur ma tête, me donnant un air d’épouvantail. J’essayai de les remettre en place, lorsque je vis une ombre bougée dans mon champ de vision. Je tournai légèrement la tête et mes yeux firent deux grands ronds symétriques : devant moi, un garçon – et pas n’importe lequel ! – venait de sortir d’une cabine.

      « A ●● Jeffou ? Mais qu’est-ce que tu fais dans les toilettes des filles ? »


    M’écriai-je, surprise et horrifiée à la fois ? L’idée que ce fut-ce moi qui me sois trompée ne m’effleura pas une seule seconde l’esprit. Mon étonnement passé, la joie de revoir mon meilleur ami prit le dessus. D’un seul coup, le sourire éblouit mon visage et je sautai à son cou, le serrant contre moi avec mes petites bras, qui n’en restai pas moins costaud, sans faire attention à ne pas l’étouffer. Toutes mes colères et mes réflexions s’étaient envolées.
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Jeff Dawson
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MessageSujet: Re: Quand l'étourderie s'en mêle... | PV Jeffou   Quand l'étourderie s'en mêle... | PV Jeffou EmptyLun 12 Oct - 21:04

[en cours] vraiment désolée pour le retard, des problèmes personnels (vraiment très personnels) je fais au plus vite, j'ai déjà commencé la réponse =)
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