Un cri, une lumière aveuglante. Bientôt, les directeurs de maisons se précipitèrent recueillirent les élèves dans les salles communes remplies d'horreur et d'inquiétudes. Les premières années pleuraient. Les plus âgés tentaient de forcer l'entrée scellée. Les préfets essayaient vainement de réconforter les élèves. Lorsque les adultes responsables débarquèrent dans les salles bondées, la lumière ne désemplit pas. En rangs serrés, ils traversèrent le château en pyjama et ce ne fut que lorsqu'un élève de première année poussa un hurlement de panique qu'ils s'arrêtèrent net.

Le corps d'une élève gisait sur le tapis, l'insigne de Poufsouffle brillant contre sa poitrine. Ses yeux étaient révulsés. Bientôt, ce furent une centaine d'élèves qui crièrent. Les professeurs se hâtèrent vers le cadavre, les yeux baignés de larmes, tout comme leurs élèves. Sur les murs, les tableaux échangeaient des regards horrifiés et rejoignaient bien souvent les élèves lorsqu'il s'agissait de crier. Dix minutes passèrent, puis le tumulte des cris et des conversations d'horreur ne fut que plus intense lorsque les élèves de Serpentard et Poufsouffle arrivèrent sur les lieux. Le directeur les suivait de près.

Soyez sûrs d'une chose ; personne ne dormit cette nuit-là. Les cauchemars vous hanteront encore longtemps, et ce n'est que le début...

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Hj ;;

Ce topic est fait pour les membres désirant nous faire partager leur réaction lorsqu'ils découvrirent la victime. Il n'est pas obligatoire, même s'il est fun de participer à ce genre de rp (;

Liv ne comprit pas tout dessuite ce qu'il se passait. Trop de monde dans la salle commune des serpentard était inquiet et certains élèves pleuraient. Elle s'approcha près des élèves inquiets et essaya de les rassurer de savoir ce qui n'allait pas. En tant que préfète de Serpentard, Liv devait s'occuper des élèves de sa maison. Liv avait entendu des bruits dehors, elle se demandait bien ce qui pouvait se passer dans le chateau à cette heure-ci. Elle décida donc de suivre sa volonté et de laisser les élèves dans la salle commune. Elle trouva un groupe d'élèves qui marchaient proches du directeur. Liv était en chemise de nuit, elle enfila rapidement une robe de chambre et franchit l'entrée de la salle commune, elle suivit le groupe qu'elle avait remarqué et s'approcha des serpentard pour essayer de comprendre ce qu'il s'était passé. Il faisait froid et ses pieds nus frôlaient le sol gelée de Poudlard.
Le groupe que suivait Liv monta les étages et Liv découvrit qu'on se rendait au septième étage. Qui avait-il là haut ? La salle sur demande et la salle de divination est une cour. Voilà tout. Arrivée en haut, Liv regarda autour d'elle, une grande assemblé se tenait en cercle autour de quelque chose qui était posé au sol. Le silence, lourd, très lourd, planait au dessus des élèves. Personne n'osait bougeait.

« Qu'est ce que ? »

Le chuchotement de Liv brisa le silence. Le directeur se précipita au devant et les élèves s'écartèrent sur son chemin laissant voir l'objet de tant d'attention. Liv écarquilla les yeux. Une élève gisait sur le sol. Inanimée, sûrement morte. Son souffle fut coupé et elle étouffa un cri. Elle aurait tout imaginer, sauf ça. Pas à Poudlard, non, ce n'était pas possible. Les larmes aux yeux, elle essaya de s'approcher pour voir qui était cette pauvre élève. Pour une fois, Liv ressentait une grande peine pour quelqu'un d'autre, pour une fois, Liv avait peur pour elle-même mais aussi pour les autres élèves. De telles choses, Liv ne pensait pas qu'elle pourrait arriver à Poudlard. Jamais.

Et si je vous disais que tout ce que vous pouvez aimer n'était en fait qu'illusion, piètre aberration de votre subconscient qui vous entraîne dans cercle vicieux ne vous montrant que le côté positif et futile de votre pitoyable vie. On appelle sa voir le verre à moitié plein, laissez-moi rire ! Votre vie est insignifiante, vos choix aussi compliqué et dur soit t-il ne sont en fait qu'une apparence consistant à vous dissimuler le fait que votre vie est déjà toute tracer et vous donne l'impression de contrôle sur vous-même alors que vous ne contrôlez absolument rien. Une chose, une seule, un mouvement peu vous coûtez la mort.

Les couloirs étaient calme, aucun bruit mise à part le vent frappant dans les carreaux du chateau. Et un brouhaha monstrueux vers les étage supérieurs. La jeune fille marchait d'un pas lent, hautain et sur d'elle. Elle venez de faire un tours dans le parc, elle aimait tellement enfreindre le réglement, au péril de sa vie mais elle ne le savait pas, du moins pas encore. La jeune fille croisé des poufsoufles, gryffondors, serdaigles et pire des serpentards en pleure !!

« Affligeant ! »

Elle aperçut alors au loin les raisons de ce bazard général, là au beau milieu de tous ses élèves effrayé et en pleure ce trouvé allonger sur le sol, mort un élèves de poufsoufle. La vie est étrange ne trouvez vous pas ? Les gens sont différent celons leurs milieux, leurs goût, leurs envies. Aileen était une jeune femme porté sur l’instinct ! Une impulsivité sans borne qui parfois la mener là ou elle n’avait pas spécialement pensée se retrouver. Mais cette impulsivité maladive pouvez être déstructrice. Fondre en larme, hurler de terreur, partir en courant, regarder le corps avec mépris ? Non Aileen regarda le corps face à elle, cette indifférence qui se lisait dans ses yeux, cette absence de toutes émotions, de larmes de pleure, Aileen était ainsi, imprévisible et difficile à comprendre. Elle était la au milieux de tout cette terreur, se désespoir et elle s'ne fichait totalement.

[désolé très petit mais manque d'inspration :S Je me rattraperai ]

La nuit battait son plein. Dans le dortoir des garçons, seuls les ronflements d'un ou deux élèves semblaient interrompre le silence qui régnait dans les lieux. Rien n'aurait dû briser un tel équilibre. Rien.

Josh ne dormait pas. Il n'arrivait plus à dormir, pas après ce qui s'était passé quelques jours auparavant. Quatre élèves avaient sauvagement été agressés par une créature venue d'on ne sait où. Dans l'enceinte même du collège. Jamais cela n'aurait du arriver. Jamais. Déjà, les rumeures les plus folles circulaient au sein des étudiants. Certains parlaient d'un second basilic. D'autres d'un tueur en cavale. D'autres encore d'un fantôme venu d'ailleurs pour semer la désolation à Poudlard. Le Gryffondor n'y croyait pas. En fait, Josh était véritablement troublé par ces évènements. Plus le temps passait, plus il se posait la même question ; Et si la disparition soudaine de Sophia avait à voir avec cette agression ? Et si la Verte & Argent avait été assassinée ? Trop de questions se posaient dans la tête du lion et à peine changea-t-il de côté pour dormir qu'un nouvel évènement effroyable se produisit quelques murs plus bas.

Un cri. Un hurlement à vous faire frémir retentit dans tout le château. Josh se redressa, comme la plupart des garçons encore éveillés. Ils n'eurent même pas le temps d'achanger un regard ou des paroles qi'in lumière verte aveuglante illumina soudain la pièce. Les cris poussés par les filles leur firent comprendre qu'ils n'étaient pas les seuls concernés.


« Qu'est-ce que c'est ? »
« Vous avez entendu ? »
« Je ne vois plus rien... »
« Surement une blague de Serpentard ! »
« Sortons d'ici... »

Les garçons sortirent donc de leur dortoir et découvrirent que la salle commune était également plongée dans le vert. Les filles étaient déjà là et, tandis que les conversations commençaient à foisonner, Abygail sortit du groupe pour se joindre à ses meilleurs amis. Tous trois étaient terriblement inquiets. Ils échangèrent quelques mots avant que la porte ne s'ouvre à la volée.


« Mettez-vous en rang deux par deux et suivez-moi. », annonça Rodriguez qui n'était habillée que d'une simple chemise de nuit. Elle tenait sa baguette fermement entre ses doigts et semblait aussi horrifiée que les élèves.

Ils ne se firent pas attendre. La centaine d'élèves présents dans la salle se regroupèrent en un rang solide et, menés par Rodriguez, s'engouffrèrent à l'extérieur par le portrait de la grosse dame qui ne cessait d'interpeller les étudiants pour leur demander ce qu'il se passait. Les tableaux criaient à tout va et lorsqu'ils atteignirent le Grand Escalier, Josh fut convaincu que la lumière verdâte qui imprégnait les lieux envahissait tout le château. Les habitants de Pré-au-Lard devaient se faire du soucis...

Ils croisèrent les Serdaigle, aussi anxieux et horriffiés qu'eux à l'angle d'un mur. Certains premières années pleuraient. Puis ce fut un cri, un horrible cri, qui figea le rang, net. La jeune fille levait le doigt juste devant elle et Josh dut lever la tête pour voir ce qu'elle désignait. Ce qu'il vit le fit tressaillir.

Sur le sol de pierre froide gisait le corps d'une élève de Poufsouffle. L'estomac du lion se contracta tandis que de nombreux cris déchiraient l'atmosphère. Ses meilleurs amis ne disaient rien ; ils étaient aussi choqués que Josh. Rodriguez et la directrice des Serdaigle accoururent. La professeur de métamorphose ne se préoccupa même pas de savoir si l'on voyait sa culotte au-dessous de sa chemise de nuit ; à vrai dire, personne ne releva. Une élève était morte dans l'enceinte du château, c'était tout ce qu'il y avait à savoir.

Quelques minutes passèrent, puis les Serpentard suivis des Poufsouffle arrivèrent sur les lieux. Leur réaction fut aussi immédiate que les autres. Des hurlements déchirants se firent entendre de la communauté des Jaunes & Noirs. Puis ce fut au tour du directeur de se déplacer. Lorsqu'il aperçut le corps, il sembla en avoir eu le souffle coupé. Il rejoint précipitemment Rodriguez et les autres professeurs qui pleuraient, tout comme lers élèves. Beintôt, on ne distingua plus le cadavre et les adolescents s'éparpillèrent un peu partout dans le couloir, adossés contre un mur ou assis sur une marche. La lumière aveuglate n'était plus qu'une futilité à présent ; tous étaient en état de choc.


« C'est horrible. Je... je suis à court de mots. Dîtes-moi que c'est un cauchemar, je rêve, on va se réveiller... »

Mais il savait très bien que tout ça était bien réel. Une terrible réalité. Il était maintenant convaincu que quelque chose n'allait pas à Poudlard. La disparition tragique des quatre Serpentard et ce décès n'étaient pas de simples coïncidences. Et il était bien décidé à le démontrer.

Cette silhouette au visage sans traits, l'obscurité qui les recouvraient petit à petit, de l'air glacial qui s'infiltrait en eux. Elle frissonnait, de froid, de peur. Elle reculait mais un mur épais lui barrait le chemin vers la liberté. Un cri déchira le silence pesant, un rire sinistre lui répondit, la faisant frissonner un peu plus. Puis, tout éclata. Les sorts fusaient, certains lui brulant peau, la faisant gémir de douleur. Elle entendait les autres hurler près d'elle, le sang qui se répandait sur le sol. La peur, la souffrance, la mort. D'autres images venaient se mélanger à celles actuelles. Ces bois, ces arbres, ces cris elle les connaissait par cœur. « Lee! LEENA! COURS! » Sa main qui tenait fermement la sienne, sa respiration haletante. Plus loin, leur maison qui brûlait, leurs parents qui se battaient. Alors, elle courait. Un corps entourait de lumière, couchait sur le sol terreux. Queenie...

NON !!! » « Leena? Tout va bien? » La lumière l'obligea à refermer les yeux alors qu'elle se redressait douloureusement dans son lit. Son bras la faisait souffrir mais ce n'était rien face à la torture de ses cauchemars. Cela recommençait encore et encore. Toujours ce moment maudit qui la hantait. A lui venait s'ajouter un événement plus récent. A peine plus croyable. Personne n'avait voulu les croire, elle ainsi que les trois autres. L'histoire s'était rapidement rependue, mais toutes les versions qu'elle avait pu entendre étaient erronées. Toutes étaient loin de la vérité. Elle avait tellement entendue murmurer lorsqu'elle se rendait d'un cours à l'autre, même lorsqu'elle allait au toilette, ces chuchotements ne la quittait pas. C'était agaçant. Et frustrant. Elle était peut-être cruelle mais en aucun cas elle n'était une menteuse. Comme s'ils s'étaient volontairement imposés ces blessures! « Quoi? Ouai... Ouai tout va bien... »

Il était encore tôt. Une migraine terriblement l'avait décidé à aller se coucher avant tout le monde. A peine 20h00. « L'est quelle heure? » Ces camarades de chambre étaient toutes vêtues de leurs pyjamas, prêtes à aller au lit. « Assez tard... Tu as raté une sacré rigolade! Figure-toi que Michael a réussi à dégoté une bouteille de Whisky Pur-Feu et qu'il se l'ai bu à lui tout seul. Il a fini par faire le tour de la Salle Commune, complètement nu avec son caleçon sur la tête! » Elle pouffa. Leena leva les yeux au ciel, se laissant retomber sur son oreiller. « Quel dommage... » « T'inquiète, on a pris des photos! » Voilà à quoi se résumé les loisirs de Poudlard. Wow qu'est-ce qu'on s'amuse...

Un cri la fit sursauter. Elle échangea un coup d'œil inquiet avec une des filles. Une lumière verte, éclatante, éblouissante, l'obligea à se cacher les yeux de son bras. Cela ne dura qu'une poignée de seconde. « C'était quoi ça? » Elle sauta hors de son lit, suivant les autres dans les escaliers. La Salle Commune était remplie à craquer. Ce n'était qu'un concert de pleurs et de cris. « L'entrée est bloquée! On ne peut pas sortir d'ici! » Là, ça n'allait plus du tout. Derrière la porte, les voix des adultes étaient légèrement étouffées mais l'inquiétude qui y découlait était parfaitement compréhensible. Avant, Leena n'aurait pas paniquée. Elle aurait peut-être même trouvé cela amusant. Mais après que cette chose mystérieuse l'est attaquée, elle avait perdue de son assurance face aux situations inexplicables.

La porte s'ouvrit en claquant, laissant entrer le directeur de leur maison. « Deux par deux. Vite et en silence » Tous obéirent, pressés de découvrir ce qui se passait. Leena chercha rapidement Sabrina des yeux et la rejoignit. Elles avaient toutes les deux vécue la même chose. Elles étaient amies avant mais ce qui les reliaient aujourd'hui était différent. On les mena hors de la Salle Commune, les faisant voyager dans les couloirs glacés du château. Cette lueur verte illuminait toujours les murs, rendant un aspect encore plus irréel à la scène. Et lui rappelait des souvenirs qu'elle aurait préféré supprimer de sa mémoire.

Ils arrivèrent au septième étage. Le boucan qui y régnait la fit frissonner. C'était anormal. Encore plus anormal que cette fichue lumière, que tous ces cris de terreur. Au loin, elle vit les élèves de Serdaigle et de Gryffondor. Regardant derrière elle, elle remarqua que ceux de Poufsouffle les suivaient de près. « Oh mon dieu... » Un simple murmure prononcé près de son oreille. Alors, elle l'aperçu.

Ce corps immobile. Leena recula, effrayée. Des flashs éclataient devant ses yeux, la coupant du reste du monde. Cette silhouette au visage sans traits, l'obscurité qui les recouvraient petit à petit, de l'air glacial qui s'infiltrait en eux. Elle frissonnait, de froid, de peur. Elle reculait mais un mur épais lui barrait le chemin vers la liberté. Un cri déchira le silence pesant, un rire sinistre lui répondit, la faisant frissonner un peu plus. Puis, tout éclata. Les sorts fusaient, certains lui brulant peau, la faisant gémir de douleur. Elle entendait les autres hurler près d'elle, le sang qui se répandait sur le sol. La peur, la souffrance, la mort. D'autres images venaient se mélanger à celles actuelles. Ces bois, ces arbres, ces cris elle les connaissait par cœur. « Lee! LEENA! COURS! » Sa main qui tenait fermement la sienne, sa respiration haletante. Plus loin, leur maison qui brûlait, leurs parents qui se battaient. Alors, elle courait. Un cours entourait de lumière, couchait sur le sol terreux. Queenie... Queenie... « C'est une fille de Poufsouffle. Elle était avec moi en cours de potion. » Alors elle comprit. Poufsouffle. Elle respira plus facilement.

Le directeur était arrivé, entouré de toute l'équipe d'adultes du château. Les élèves s'étaient dispersés un peu partout. Elle était la seule plantée en plein milieu du couloir, le regard fixé sur cette fille qui n'avait pas eu la chance qu'elle avait eu quelques jours plus tôt. Ça aurait pu être quelqu'un de sa famille. Ça aurait pu être quelqu'un qu'elle aimait ou appréciait, un visage connu. Ça aurait pu être elle. Elle tituba, s'adossa à un mur, les yeux fermés. Ne pas pleurer. Ne surtout pas pleurer. Elle était Leena Dashwood bon sang! Il fallait qu'elle soit forte!