S a t i s « Behind Your Redemption »

**─ Adulte ─** ─ Auror ─

Baldwin
Satis Jezebel

Feat. Camilla Belle

B E G I N N I N G

■ nom ; Baldwin : Il n’y a que les vieilles anglaises pour s’en souvenir, mais il fut un temps ou les Baldwin étaient une grande famille, assez riche pour faire venir les plus grands philosophes du monde jusque dans leur propriété, et assez Noble pour assister à la court de la Reine d’Angleterre, bien que Moldu. La famille est comme le lierre, elle s’attache à vous pour finalement vous étouffer. C’est aussi ce que ressentit l’une des héritières de cette noble famille lorsqu’on lui interdit de se marier avec l’homme qu’elle aimait. Sa fuite, provoqua le déclin de cette illustre famille, qui de nos jour, à perdu toute sa gloire et la noblesse de son nom. Cela étant, les Baldwin restent pourtant une importante famille, assez influente dans le monde de la magie.
■ prénom ; Satis, Jezebel : Voilà deux prénoms peu courants dans le monde moldu, mais qui ne causeront aucune surprise dans celui des sorciers. Le premier est d’origine égyptienne, tiré plus précisément de la mythologie, Satis était une Déesse combattante inlassable, fière, puissante et ingénieuse, dont le nom signifie « plus rapide qu’une flèche ». Son rôle d’ange gardien s’étend à tout le royaume d’Egypte jusqu’à la personne de Pharaon. Le deuxième prénom, est d’origine biblique, et de ce fait, la reine qui le porta la première fut démonisée, car elle avait osé prendre le pouvoir et donc le rôle 'naturel' de l'homme.
■ âge ; Vingt-quatre ans
■ date de naissance ; Douze Janvier 2026, une très froide journée d'hiver, en somme.
■ habitat ; Satis c’est complètement détachée de sa famille. Si elle avait suivit les traditions des siens, elle habiterait un manoir miteux, gloire de leur noblesse passée. Mais il se trouve qu’elle a réussit en prenant plusieurs petit boulots à s’acheter un appartement à Londres, sur White Chapel, non loin des docks.
■ statut de sang ; A l'origine Sang-Pur, les descendants de l'héritière enfuie furent de sang-mêlé, lorsqu'elle épousa un né-moldu.
■ composition de la baguette ; Bois de Pin, ventricule de Bézoart, 29,7 centimètres.
■ maison/poste convoité(e) ; Après avoir suivit une formation durant quelques années, Satis est devenue une des Auror les plus connus du Monde de la Magie malgré son jeune âge.
■ épouvantard ; Ayant le vertige, l'épouventard l'a matérialise souvent devant une falaise, ou encore sur un balais.
■ patronus ; Le patronus de Satis prend la forme d'un hydre, une créature mythique représentant une sorte de dragon à trois têtes.

(c) Shinedown

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Satis Jezebel Baldwin

C H A R A C T E R

■ physique ;

Tout comme dans la chanson, Satis est une brune, et le revendique. La lumière ambiante révèle souvent dans ses cheveux des éclats plus ou moins cuivrés, chatoyants. Elle les a coupés tout récemment, jugeant qu’ils étaient gênants lorsqu’elle partait en mission pour le Ministère. Satis a un petit nez fin et légèrement retroussé ainsi qu'un regard perçant constamment occupé à tout détailler donnent à son visage un sombre et une impression de suffisance, qui reflète à merveille sa personnalité. De façon générale, ses yeux olives en amande qu’elle tient de sa mère, guettent sans arrêt chaque détails, et examinent avec ironie, voir amusement, les situations les plus graves. Il lui suffit parfois d'un simple regard jeté sur une personne pour que celle ci se sente mal à l'aise, et cela se comprend, elle aime mettre mal à l’aise et sentir la personne en face d’elle tremblez d’angoisse. Quant à sa peau, Dieu a dû merder dans un paramètre, car sa pâleur lui permet de ressembler à une enfant de la lune, ni plus ni moins. On peut s’attarder sur ses lèvres ourlées, pulpeuses, et sur l’expression indéchiffrable dessinée en permanence sur son visage, parfois éclairé d'un petit sourire, qui n'est rien d'autre qu'un sourire sarcastique, railleur, voir même le plus souvent carnassier et sadique, empli d’une promesse de souffrance pour la personne à qui il est destiné. La jeune femme est de petite stature, ne dépassant pas un mètre soixante-cinq. Elancée, sa longue silhouette se démarque facilement des autres par sa prestance et son allure. Pour conclure sur l'aspect vestimentaire, Satis porte des vêtements sobres et élégants. Ses vêtements sont donc simples, elle ne porte pas de couleurs trop voyantes et favorise le noir, le blanc le gris ou le bleu. Propres, jamais froissés ni tachés, elle porte ses habits à l’image qu'elle donne d'elle-même : sans guère d'imperfection.

Les brunes comptent pas pour des prunes, on a plus d'idées que les péroxydées, c'est sûr qu'on en jette plus que les blondinettes. On a plus d'éclat, que ces pauvres filles-là. ♪

■ caractère ;

« Demetri ! C’est quoi ce bordel !? Tu viens me ramasser ça tout de suite, sinon je te jure que je fais une guirlande avec tous les soutiens gorges de tes ex qui trainent et je la suspend au balcon ! »
Voilà. En deux lignes tout est dit. Vous vouliez savoir qui est Satis Jezebel Baldwin ? Et bien c’est fait. Satis est une chieuse. Une pure et dure. Pire qu’elle ? Y’a pas. Tout du moins, c’est ce que répète sans cesse son frère Demetri. Mais comme nous le savons tous, les frères ne disent que des…HUM…bêtises. Cependant, il faut avouer que Satis est difficile à vivre. Déjà, parce que du temps ou elle était elle-même à Poudlard, elle aimait les mauvaises blagues, (on ne vous l’a jamais faite celle du vestiaire des Gryffons repeint en jaune malabar avec des lions gonflables, une culotte en dentelle sur la tête ? Non ? On a du ménager les témoins alors… ) et ensuite, parce qu’elle a toutes les qualités nécessaires pour faire d’elle une chef de section. Ce qui signifie en d’autres termes, qu’elle a un don pour hurler sur tout et tout le monde, qu’elle se lasse très vite des paresseux et des personnes lentes (ne lui demandez surtout pas de faire la queue dans un magasin derrière une personne âgée, ou elle risquerait de faire une attaque). Maniaque de nature, elle ne supporte pas que quelque chose soit déplacé ou ne soit pas en harmonie avec le reste de la pièce, ce qui l'oppose souvent à son frère, qui, pour ne pas être vulgaire, est du genre bordélique. Cependant, si la jeune femme s'impose par la force de son caractère, elle n'en reste pas moins charmante, usant de ses bonnes manières quand il le faut. Cela est certainement dû à son éducation basée sur des principes d'un temps dépassé. En effet, très jeune on lui a apprit la façon de se tenir dans la société et a être la plus merveilleuse des hôtesses, si jamais la famille Baldwin retrouvait toute sa gloire passée. Mais, c'est sans compté sur le besoin omniprésent d'indépendance de Satis. Ce n'est pas le genre de femme qu'on manipule à sa guise, c'est même l'inverse. Ce sentiment de rébellion qui naît chez elle très tôt, lui vaut le mépris des siens et l'exaspération de son père, qu'elle admire, quoi qu'elle dise. Au premier abord, Satis peu souvent paraître dure et sans cœur. Ceux qui l'a connaissent réellement savent que cela est du à son passé douloureux...

Car j'ai du tempérament, ce foutu caractère qui fait dire à mon père que je suis son cheveu blanc ♪

D E R R I E R E . L . E C R A N

■ prénom/pseudo ;

Sun, mais on va dire Satis x)

■ âge ;

16 dans quelques semaines x)

■ présence ;

Aussi souvent que possible, disons 5/7.

■ comment trouvez-vous le forum ? ;

Génialisisme

■ codes ;

OK.

■ autre ;

Première Auror arrivée *troop fière*

Dernière édition par Satis J. Baldwin le Sam 21 Nov - 14:30, édité 8 fois

**─ Adulte ─** ─ Auror ─

S T O R Y

■ histoire ;

PRÉFACE; «It's bugging me, grating me And twisting me around. Yeah I'm endlessly caving in And turning inside out. 'Cause I want it now I want it now. Give me your heart and your soul. And I'm breaking out I'm breaking out. Last chance to lose control. ».

.

BACK TO HELL; « si Dieu est le commencement et la fin de l'histoire, il n'est pas l'histoire. L'histoire c'est nous. »

« Monsieur Baldwin ? »
« Merlin ! Mon enfant… »
« Une adorable petite fille, Monsieur. Souhaitez-vous monter la voir ? »

Mais l’homme avait déjà bondi de son siège, et ses pieds s’arrêtèrent devant la porte de la chambre à coucher bien avant que la sage-femme dodue n’ait pu le rattraper. Pourtant, il eut un moment d’hésitation lorsque ses mains entrèrent en contact avec le bois vernis de la porte. Pénétrer à l’intérieur lui semblait un acte sacrilège, comme un musulman entrant dans sa mosquée sans retirer ses chaussures. Cette chambre, il l’avait quitté brusquement, fuyant avec lâcheté les cris de douleur de sa femme. Il n’avait pas pu supporter de voir Ekaterina, son Ekate si forte, si belle et si puissante, se métamorphoser sous les contractions de la naissance. Maintenant, le calme était revenu dans la pièce, mais le sentiment d’angoisse ne quittait pas Castiel pour autant. La sage-femme ne lui avait rien dit au sujet de sa femme : l’enfant allait bien, mais la mère ? Les docteurs auraient-ils pu être assez cruels pour ne pas lui annoncer le décès de sa femme ? Personne n’aurait pu comprendre ce que sa perte aurait provoqué chez lui ; Ekaterina, ce n’était pas seulement son épouse. C’était sa meilleure amie, son premier amour, sa partenaire de travail, c’était le fil conducteur de sa vie. Depuis leurs naissances jusqu’à ce jour, elle l’avait dirigé par ce fil, lui montrant le chemin à suivre dans le labyrinthe du Minotaure qu’avait été leur existence. Ce fil d’Ariane, si rassurant entre ses mains, le menait désormais à leur chambre à coucher. Et il s’arrêtait là. Sans dire s’il continuait de l’autre côté, sans que Castiel puisse savoir si son cœur se rattachait encore à celui de sa femme. Ses mains blanches se mirent à trembler. Sa gorge se resserra, sa main glissa le long de la porte pour venir se contracter au niveau de ses hanches, et il ferma les yeux. Ses poumons se gonflèrent et, d’un coup sec, tout émotion disparue. Ses yeux gris s’entrouvrirent, et la terreur qui les obscurcissait un instant auparavant avait fait place à l’indifférence du serpent. Il poussa la porte avec détermination, et pénétra dans la chambre. Les épaisses tentures étaient tirées, plongeant la pièce dans la semi-pénombre. La plus visible était une jeune femme d’une trentaine d’années, dotée d’une peau d’albâtre et de longs cheveux bruns qui couvraient ses yeux caramel. Deux enfants, assis sur le rebord du lit écoutait silencieusement leur mère. Dans ses bras, elle berçait un paquet rose de sa voix chaude et rauque. Les notes mélodieuses de sa chanson arrêtèrent le cœur de Castiel. Au final, le fil conducteur du couple Baldwin, c’était la voix d’Ekaterina. Chaque moment important de leur vie y était imprimé : leur enfance joyeuse, la découverte de leur amour, leurs fiançailles, leur mariage, la venue au monde de leur deux fils, Cassian et Demetri, puis finalement la naissance de leur fille, cet être qui était une moitié de chacun d’eux et symbolisait à lui seul l’union de deux âmes parfaitement accordées. Le nouveau père s’avança sans bruit vers ses enfants, et sa femme lui tendit le paquet avec un sourire heureux mais blasé, avant de se recoucher dans ses draps et de s’endormir. Castiel écarta du bout de ses doigts les pans de tissus rose pâle qui cachaient le visage de l’enfant. C’était sans doute la plus belle créature qu’il n’eut jamais vu. Tous les parents disent ça de leurs enfants, mais qu’importe puisqu’il semblait à Castiel qu’on avait illuminé ça vie. Il se souvint alors qu’il avait été fier et heureux, lorsqu’il avait vu naître ses deux fils, mais pas aussi comblé. Tout chez sa fille l’émerveillait. Il ne pouvait se lasser de parcourir de ses yeux gris la moindre petite parcelle de peau ; il lisait la vie sur sa peau comme un aveugle lisait du braille. Elle était le mélange parfait entre Ekaterina et lui : sa peau d’albâtre faisait penser à sa mère, et l’intensité de son regard, malgré qu’un bambin de cet âge ne puisse encore rien distinguer, ne pouvait que faire penser à la propre flamme qui dansait dans ses yeux dès qu’il se mettait en colère. A cet instant, Castiel eut le pressentiment que ce petit ange ferait de grande chose, et qu’elle était née pour éblouir les nations jusqu’à les aveugler. Son cœur se serra malgré lui, quand il songea à Scarlett, sa mère, qui s’emparerait le plus tôt de l’enfant pour en faire une parfaite Lady, et ainsi redonner la gloire et la noblesse passée aux Baldwin. Il secoua la tête, chassant ses vieux démons et embrassa son enfant. Et les paroles d’un père résonnèrent dans les murs de la maison, s’accrochant aux parois, se faufilant dans les recoins, prêtes à ressurgir lorsque le temps serait venu :

« Seul un esprit ténébreux et noir comme le mien peut connaître les secrets du cœur. Car ils sont noirs, Satis, si noirs… Mais en toi, ta mère et moi avons mit toute la lumière du monde. Tes compagnons ne seront que depuis longtemps des ombres souterraines, alors que ton ombre brillera encore et a tout jamais dans l’Histoire, lumière radieuse d’un astre fulgurant, fontaine de jouvence, source d’inspiration. Je n’en doute pas, Satis, tu feras de grandes choses… »

Il n’y a que les grand-mères anglaises pour s’en souvenir autour d’une bonne tasse de Darjeeling, mais il fut un temps ou les Baldwin étaient assez riches pour faire venir les plus grand philosophes du monde, jusque dans leur maisonnée, et assez noble et prestigieux pour participer à la cour de la Reine d’Angleterre et autres Seigneurs, bien que moldus. Les Baldwin étaient également connus pour la pureté de leur sang, mais plus encore pour leurs trafics plutôt louches : capture et vente de licornes, par exemple, mais aussi trafic d’objets de magie noire ou fraudes bancaires. Ces occupations ‘arrondissaient’ les fins de mois de la famille, bien qu’elle n’en ait pas besoin. Mais ; il faut croire que cela n’était pas fait pour durer, car l’une des héritières de cette noble famille s’enfuie pour rejoindre l’homme qu’elle rêvait d’épouser, malgré que sa famille n’y consente pas, car il était de rang inférieur, soit de sang mêlé. Prenant cela comme un affront, les Baldwin bannirent cette héritière, et lui coupèrent ainsi ses vivres. Elle dut pour la première fois de sa vie, apprendre à travailler comme n’importe qui, et, malgré que leur fin de mois soit plutôt modeste et que la guère lui arracha très rapidement son mari, l’héritière eut plusieurs enfants, propageant ainsi la descendance des Baldwin. Le mari de Scarlett Baldwin était l’un de ses descendants direct, et ne rêvait que de retrouver les privilèges qui lui étaient dus. Mort en ayant inculqué toutes ses valeurs à sa femme, elle se battu pour réacquérir le manoir familial, bien qu’il tombait en morceau et que son côté de la famille soit bannit des testaments. C’était une femme forte, froide, dénuée de tous sentiments humains, tel que la pitié ou même la compassion. Autoritaire, son fils Castiel, même tout petit, en souffrait énormément, et, en apprenant la naissance de Satis, elle décida qu’elle prendrait en charge son éducation lorsqu’elle serait plus âgée, afin d’en faire une parfaite lady. C’est dans ce climat que Satis grandit. Elle eut une petite enfance des plus banales : comme tous les parents attentionnés, Castiel et Ekaterina l’accablèrent de photographies et d’ébahissement devant ses premiers mots, ses premiers pas, sa première dent, etc. Déjà enfant, ses frères Cassian et Demetri s’arrangeaient toujours pour la taquiner des que leurs parents avaient le dos tourné. La découverte de la magie se passa tout aussi banalement, un jour où la petite en eût assez de devoir faire bouger ses poupées, elle les anima d’un geste de la main. La découvrir au milieu de cinq poupées en robes de sorcières buvant leur jus de citrouille fit pleurer de bonheur le père Baldwin. Déjà âgée de huit ans, elle avait le caractère calme, posé, et pourtant ardant qui caractérisait sa mère. Pas moyen de la surprendre, ses yeux olives voyaient tout, la prévenaient de chaque tentative avant même son exécution. Elle avait toujours une longueur d’avance sur les autres, ce qui ravissait ses parents, surtout Ekaterina. En effet, si la petite avait les boucles brunes et le regard de son père, son caractère était celui de sa mère. Cette dernière était une femme sulfureuse, s’emportait facilement, et son arrogance lui avait coûtée de précieuses opportunités. Pourtant, Satis était une version moins bestiale de sa mère, malgré son caractère imposant. C’est ce qui posa problème le jour ou Scarlett réclama son dû sur la jeune fille. Brisée, Ekaterina supplia, pria, hurla son désarroi sur son mari, complètement impuissant devant sa mère. Satis fut donc arrachée à ses frères et parents à l’âge de neuf ans, et vécu dans le manoir de Scarlett qui lui inculqua le savoir vivre d’une aristocrate. Mais, il y a une chose que Sarlett n’avait pas planifié, c’est que sa petite-fille retrouverait ses frères quelques années plus tard dans l’une des plus prestigieuses écoles de magie du monde : Poudlard. Satis fut ainsi envoyée à Serpentard, et devint très rapidement l’une des meilleures de sa génération. De part ses résultats scolaires plus qu’honorable, mais aussi pour sa popularité. Elle obtint ses ASPICS avec une très bonne mansion et voyagea en Europe pour faire une formation au métier d'Auror. Ses voyages lui permirent de comprendre qu'elle ne pouvait plus être traitée comme une enfant, et qu'elle n'était pas une femme qu'on manipulait à sa guise. La première chose qu'elle fut en rentrant au pays, fut celle d'aller rendre visite à Scarlett, et de lui annoncer son départ du Manoir familial.

« Je ne t’ai pas élevé de la sorte, Jezebel ».
« Je m’appelle Satis, pas Jezebel. Satis Baldwin »
« Tu n’as aucun droit de prétendre à ce nom. Revendiquer le nom des Baldwin fais de toi une menteuse, comme ta mère. »
« Ma mère n’est pas une menteuse. Le fait que vous ne l’apprécié pas ne justifie pas votre haine envers moi. »
« Je vois, tu ne supportes pas non plus l’autorité, à l’image de ta mère. Et malgré le fait que je t’interdis de la voir, tu l’as singe. Quelle arrogance ! Je constate qu’elle t’a donc façonné à son image. »
« Oui ! Dès mon plus jeune âge, on m’a poussé à développer une intelligence démoniaque ! Toute petite déjà j’arrachais les ailes des papillons et j’empoisonnais l’eau du puits ! Une chance que vous m’ayez arraché à elle avant d’aborder le chapitre du viol et du pillage, sinon plus personne ne serait en sécurité ! Je suis juste venue vous apprendre que je ne marche plus dans vos combines. Votre bassesse m'exaspère. A présent, je ne réussirai que par mes propres moyens... »

Elle fut engagée quelques mois plus tard par le Ministère et devint très rapidement l'une des Aurors les plus connues, de part son jeune âge, mais aussi pour ses compétences. Satis arrêta de nombreux criminels et Mages Noir et s'arrangea personnellement pour qu'on les enferme à perpétuité à la prison d'Azcaban. Elle arriva très rapidement à la tête du bureau des Aurors, et fut alors envoyée en mission avec d'autres de ses collègues pour surveiller l'école, et empêcher ma diffusion d'informations sur le meurtre d'une jeune Poufsouffle. Même si Satis sait pertinemment que cacher les informations à la foule est complètement irresponsable, elle tient énormément à son métier et prend son rôle très à coeur, ce qui l'oppose quelques fois à d'autres membres de l'équipe pédagogique.

**─ Élève ─** ─ Septième Année ─

**─ Adulte ─** ─ Auror ─

**─ Fondateur & Préfet ─** ─ Sixième Année ─

Une auror, enfin !!

Bienvenuuuuuuue parmi nous et bonne chance pour ta fiche ! =)

*Josh va te détester... Mouahaha*

**─ Préfèt ─** ─ Septième Année ─

Bienvenue jolie petite auror =D

**─ Admin & Préfète ─** ─ Sixième Année ─

Josh T. Hadisson a écrit:

Une auror, enfin !!

Bienvenue 8D

**─ Adulte ─** ─ Auror ─

S a t i s « Behind Your Redemption » 842219

**─ Maître du Jeu ─** ─ Non Player Character ─

Bienvenue à Poudlard, Satis !

Te voilà donc membre de l'éducation à l'école, félicitations ! Le directeur te remercie d'avoir accepté ce poste, et je t'annonce officiellement que tu peux maintenant ouvrir une fiche de liens, des demandes de RP's, et, bien sûr, vaquer à tes occupations ! N'abuse pas trop de la suppression des points ou des sanctions, même si d'autres l'ont fait avant toi... Utilise ton pouvoir à bon escient (;
Une dernière chose ; Pour que ta validation soit officielle, merci de bien vouloir lire cet écriteau, à la partie "Adultes et Professeurs". Nous pourrons ainsi faire le point sur tes aptitutes scolaires à Poudlard Smile