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Sujet: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:36
D A L T O N heathcliff gédéon
Feat. rpattz
BE G I N N I N G
@ livejournal.
■ nom ;
« Je ne suis pas vraiment de ceux qui aiment qu’on parle d’eux a tout va. Bien au contraire ne vous méprenez pas surtout. Moins on parle de mon identité, mieux cela vaut. A quoi bon faire parler de soi lorsqu’on est tous des êtres éphémères ? Je vous accorderez que graver mon nom dans l’histoire serait fort remarquable mais bon que voulez vous. Je songe très souvent a des pensées rêveuses, mais de là a me voler la face, pas tellement. Bon passons aux choses déplaisantes. Mon patronyme est Dalton. Un nom de famille fort commun qui ne me gêne guère plus que cela. Je pourrais évidement porter le nom de mon paternel, mais légalement c’est celui de ma mère. Pourquoi ? Parce qu’après tout c’est bien elle qui m’a élevé et non mon géniteur. Ce dernier a pourtant fait preuve d’une grande gentillesse en me laissant conserver le patronyme de ma défunte mère. Malgré quelques consonances américaines, ma famille est bien britannique. »
■ prénom ;
« Une question que tous parents se posent à la naissance. Pour ce qui de ma personne, mes prénoms ont tous une signification bien que je n’en suis guère porteur positivement. Lors de ma naissance ma mère avait pour réflexion de choisir un prénom qui devait prendre un sens et qui ne me porterait pas préjudice. Me nommer comme mon géniteur ? Hors de question pour elle. C’est pourquoi elle a portée son choix final sur le nom d’un héros littéraire à savoir celui des « Hauts de Hurlevent ». Emily Brontë et ses œuvres ont toujours eu beaucoup de gout durant la jeunesse de ma mère, le résultat ne me surprend guère aujourd’hui, d’où mon prénom - Heathcliff - à la naissance. Mon second prénom se porte en effet sur l’appellation de mon grand père maternel qui se nomme Gédéon. Un prénom peu commun encore une fois mais pour lequel je porte un intérêt particulier. »
■ âge & année ; « Seize années au compteur, donc je suis actuellement en sixième année. » ■ date de naissance ;
« Bien que je sois nait en plein hiver, par un froid glacé et humide avec pour seul témoin la famille maternelle, cette dernière pourrait vous affirmer que j’ai poussé mes premiers cris le vingt cinq décembre de l’année deux mille quarante quatre. »
■ habitat ;
« Etant gamin j’aurais pu vous certifiez que je vivais a Loutry St Chaspoule dans une maisonnée fort agréable en compagnie de ma mère. Bien entendu le destin frappe toujours là où nous l’attendons le moins et donc actuellement je vis en plein milieu de Londres dans la demeure de mon géniteur. Un manoir qui n’a égale que la richesse de la famille Dalton et qui très sérieusement peu se montrer austère lorsque les grands parents s’en mêlent. »
■ statut de sang ;
« Lorsqu’on tombe en sentiment pour quelqu’un l’ascendance n’a que très peu d’importance. Ce fut le cas pour les deux personnes qui m’ont mis au monde. Si mon paternel est issu d’une longue lignée britannique au sang pur, ma mère n’a pas dérogé à la règle. Réponse ? J’en suis un sang pur également. Bravo Sherlock Holmes tu as tout deviné en bonne et du forme. »
■ composition de la baguette ;
« Un achat qui m’a toujours fait sourire. L’outil qui fait de vous un véritable sorcier - si on pouvait le tourner ainsi -. Quoi qu’il en soit ma baguette est forgée en bois de prunelier et contient un nerf de cœur de dragon. Cette dernière mesure vingt sept centimètre et demi et ne quitte jamais ma poche. »
■ maison/poste convoité(e) ;
« Il me semble que certaines traditions se perpétuent de générations en générations. En ce qui me concerne l’exception ne fait pas vraiment. Lorsque le vieux bout de chiffon fut déposer sur ma tête, la mention des rouges et or se fit sans appel. Après tout qui pourrait remettre en question un vieil objet magique ? »
■ épouvantard ;
« La peur est un sentiment qui me frôle que très rarement mon esprit. En réalité je l’ai enfouie au plus profond de ma mémoire. Mon épouvantard prend la forme d’une personne qui autrefois a su atténuer mes hésitations à savoir ma mère. A croire que la mort est une forme de peur oppressante et commune. »
■ patronus ;
La loutre. Si le jeune homme est connu pour son sens indépendant et son respect envers la nature et autrui il n’en demeure pas moins que ce mammifère est la référence clef de la personnalité du Dalton. Révélateur d’un certain mutisme et de perspicacité, la loutre est pour les amérindiens synonymes de grands projets mais aussi de mystère qui peuvent tendre à une fascination sans terme. Effectivement la loutre est un animal imprévisible au regard doux et confiant. Son courage étant sans appel, il n’en demeure pas moins que l’on comprend tout à fait le dit patronus d’Heath.
Spoiler:
■ prénom/pseudo ; a. ■ âge ; 18 ans ■ présence ; 4/7 ■ comment trouvez-vous le forum ? ; superbe.. ■ codes ; Thalamus Abditus. La magie, à jamais. ■ autre ;
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Heathcliff G. Dalton ─ Elève ─ ─ Sixième Année ─
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Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:36
Le pacte de l’innocence ; Un lien futile mais subtil. « Si l'on veut s'approcher des enfants, il faut parfois devenir enfant soi-même. ».
Logement de la famille Dalton. A l'aube de ses sept années. Londres, Grande Bretagne.
La réalité ne faisait guerre avancé l’imagination d’un enfant. Frein de rêves et d’illusions, elle gardait en elle une part de souffrance et d’aliénation digne des plus grandes pièces de théâtres des temps anciens telle que Phèdre ou encore Œdipe. Toutes ses histoires éponymes couchaient sur papier par de grands tragédiens, ne révélait ni plus moins les plus vastes et courtes anecdotes d’une simple vie en des temps repliés et lointain. Un bruit saccadé, des pas rapides se faisait entendre dans le corridor sobre qui menait à la pièce principale. La résonance de cette démarche représentait sans aucun doute unee petit bonhomme, abordant une crinière en bataille aux reflets de bronze et d’un regard clair dont peu d’individus auraient pu posséder. L’enfant à l’allure svelte et sage, ouvrit avec un fracas assourdissant la double porte qui donnait sur le salon aux motifs d’une décoration typiquement grecque, où la comparaison d’un palais de l’antiquité n’avait aucunement sa place. Teintes vives et claires, meubles doux et sculptés en bois de pin mais aussi de hêtre, la salle était très clairement dominée par un imposant instrument à cordes frappés. Le piano qui trônait prés de la fenêtre, était un symbole d’héritage de la famille maternelle depuis des générations qui sans aucunes surprises laissait des prédispositions à ce que la descendance en ait un jour l’usage à son tour. Soudain, tendrement et affectueusement, une voix légère et cristalline émana de la pièce déserte.
« Allons Heath ne soit pas si pressé. ».
Son rire de cristal embarqua son fils dans un monde posé ou là quiétude était le maître mot. Assis sur le banc qui siégé juste devant le piano d’ébène, la mère fit signe à son cadet de s’avancé vers elle, afin qu’elle puisse le voir. Sourire abordant ses lèvres rosées, Heatcliff n’eu pas besoin de se faire prier pour rejoindre les tendres bras sécurisant de la figure maternelle.
« J’ai appris que tu as été une jeune homme bien courageux ce matin. ». « Je ne vois pas en quoi défendre les autres peut être courageux ?! ». « Ton comportement et ton attitude trouve cela naturel n’est ce pas ? ». « Oui évidement, je ne pouvais pas laisser Marianne se faire insulter de sang de bourbe … Les gens ne sont pas vraiment d’une gentillesse naissante. ». « Exactement, et c’est pourquoi les mœurs changent mon grand, grâce à quelques personnes qui agissent ainsi. ».
Tête faisant un léger mouvement circulaire, le jeune Dalton toisait d’un regard emplis de sagesse enfantine l’arbre fleurissant qui au gré de la brise du vent laissait s’envoler ses fines pétales roses et blanches. L’été venait de commencer et les cruautés apparaissaient de plus en plus dans le monde des sorciers telle une chaîne de mots sans fin et lugubre. Manifestant une envie soudaine de jouer du solennel instrument de ses ancêtres, le jeune mystérieux s’installa aux cotés de la sorcière membre de l’équipe de Quidditch nationale de son pays et dont le devoir allez bientôt la rattraper. Sarah – ainsi se nommait elle – expliqua de manière simple et profonde la façon dont chaque touches d’ivoire possédait son propre son et que chaque gamme devait être parfaitement su pour déchiffrer les codes de partitions anciennement rédigés comme innovatrice. Après quelques heures d’exercices acharnés mais enrichissants, l'audacieux sorcier se mit à jouer en concert avec son professeur un morceau de Mozart. Une complicité épatante pour un novice qui ne finirait jamais d’étonner ses proches. La musique produite était lente et rythmée, douce et apaisante pour des âmes fatiguées et lassées d’un quotidien inchangé. Elle reflétait le parfait secret d’un pacte entre mère et fils, en d’autres termes, un lien toujours existant et invisible a celui qui voulait croire en l’espoir d’un renouveau. Un nouveau souffle de vie, une autre vie au delà d’un monde rêvé.
La dernière note achevée, le prodige se tourna vers l’optimiste mère nourricière de son nouveau savoir en peignant sur ses lèvres de gamin, un sourire ensoleillé et sincère. Le lui rendant à son tour, il entendit la voix plus affirmée de sa cousine, Jezabel.
« Heathcliff, tu viens jouer une partie de quidditch ? »
Avait-elle criée du dehors par la fenêtre ouverte. Ne pouvant guerre qu’optait pour une réponse favorable, l'unique enfant de la famille se leva en courant vers la porte de sortie et glissa dans une voix murmuré.
« Merci. ».
Dernière édition par Heathcliff G. Dalton le Dim 6 Sep - 17:46, édité 4 fois
Heathcliff G. Dalton ─ Elève ─ ─ Sixième Année ─
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Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:36
Le mystère à ses vertus tout comme la patience est requise dans l’attente. « Ne jamais dire jamais. ».
En des temps repliés, l’homme demeure vil et cupide, insensible et froid, en somme impétueux et seul sur un champ de bataille dont il a gagné la victoire. Si un jour le monde pouvait changer, l’homme s’améliorait il ? Rien n’est moins certains. L’espèce humaine est d’humeur changeante et susceptible. Toujours a bondir tel de magnifique félin sur les restes de son congénère fébrile et dégouté d’une vision de la vie où tout doit être régit par la loi implacable qu’est celle du Talion. Les temps du roi Arthur et d’Excalibur sont désormais révolus et rien ne permet l’humain de réagir ainsi, si ce n’est son ambition de puissance, de pouvoir et d’assouvissement de vengeance. Inversion de la tendance pour ce nouveau monde où les guerres ne sont plus au gout du jour ? Quelle chimère idyllique avions nous présentement. Rien que de la foutaise qui venait embrumer l’esprit d’un parfait individu quelconques qui désirait enfin croire aux rêves et paradis idéal. Adam et Eve, ne sont que des personnages fruit d’un Dieu qui aurait créé le monde selon ses bons vouloir, pour ensuite en causer la perte ? La crédulité avait son lot de victimes et la fatalité son quota de mort sur la conscience. La haine aveugle son peuple comme la propagande historienne de la seconde guerre mondiale. Le monde représente a merveille l’allégorie d’une jungle amazonienne, car il n’y a qu’une personne pour les gouverner toutes …Telle était la vision de l’homme aux temps antérieurs du nouveau monde. Quelques uns subsistés encore, doucement mais surement ils gagnaient du terrain et voulaient tout savoir.
Ce fut sur la dernière phrase de l’ouvrage de Baudelaire, que le doux audacieux aliéné par son passé fataliste, acheva la énième lecture des « Fleurs du Mal ». A en observer ce dernier l’usure remontait déjà à une époque qui allait bien au delà de sa naissance, et qui pourtant ne semblait guère enlever son envie de lecture. Voilà à quoi lui servait le bouquin du poète français, qui sous un angle lui faisait passer le temps ; un temps qu’il prônait comme le repos du « guerrier ». Confortablement installé dans la salle commune qu’il fréquentait depuis prés de quatre années, le jeune homme aux reflets de bronze regardait les buches de bois crépitaient et disparaitre sous l’influence ardente des flammes de la cheminée. L’heure était fortement tardive, et la fenêtre entre ouverte du salon principal donnait sur lui une légère brise de vent hivernal qui finir leur course sur ses cheveux en bataille. Dos callé contre le dossier des canapés rouges en velours, Heathcliff laissait tendrement et fatalement ses pensées tourbillonnaient tel un ouragan. Les yeux rivés sur les mouvements récurrents des flammes, il entendit une voix familière le tirer de ses pensées.
« Tu es enfin seul ! »
Son regard améthyste se posa sur la personne dont lui voix lui était plus qu’habituelle. Cette identité, le Dalton la reconnaissait entre mille et une personnes. Pas un mot en provenance du jeune lion, juste un regard simple et méprisant. Cette jeune femme qui autrefois faisait l’objet d’une amitié sur et confiante, était devenue un individu ronger par le vice et la méchanceté a l’état pur. Jezabel. Elle portait véritablement bien l’origine véridique de son prénom. Le malin et ses cornes rouges c’était joué d’elle comme une simple mortelle et cela l’ange rigolard le savait plus quiconque. Sous ses boucles blondes aux couleurs de blé, se dressait la colère et la haine. Cette jeune sorcière colérique était sa cousine mais aussi celle avec qui il avait passé une partie de son enfance. Une enfance dont le téméraire avait occulté les souvenirs au lointain de sa mémoire. Heathcliff la toisait toujours du regard similaire tandis que la dénommée Jezabel s’installa en face de lui.
« Il est très difficile de pouvoir t’approcher Heathcliff, vraiment ce n’est pas évident. » « Tel est le défi pour que tu puisses m’adresser la parole Jezabel. » « Pourquoi ne me surnomme tu plus Jazz’ comme avant. » « Tu n’existes plus en tant qu’autrefois. »
Ce fut sur cette dernière phrase que le brun aux allures d’Adonis se releva en direction de l’armoire de derrière pour pouvoir ranger l’ouvrage philosophique. Sa voix été dure, froide et donc catégorique. Il pouvait entendre le soufflement agacé de la jeune blonde, ce qui provoqua l’esquisse d’un sourire ironique sur ses lèvres. Bien qu’il fût mince ce sourire fit apparaitre l’idée qu’il se devait de rejoindre sa meilleure amie sur le terrain de quidditch. Secouant doucement la tête, il reprit le chemin de la sortie en prenant à la volée sa veste d’hiver. Une fois de plus l’infâme ennemie n’avait rétorquait mot et déjà sa présence raisonnait en écho dans vie actuelle. Les pas sveltes et rapide de l’ange se présentaient vraiment rapidement dans les nombreux corridors du domaine magique, tel un ancien dédale grec. Le regard du ténébreux était fixe et mystérieux toujours en osmose avec ses moindres pensées. La Grande Salle était parsemée de petites foules dont-il connaissait certaines connaissances.
Pas de surprise en reportant son attention sur l’interpellation de cette voix rauque et tonitruante. Il s’agissait en effet du capitaine de l’équipe de Quidditch de sa maison, un ami de longue date qui ne vivait que le sport des sorciers.
« J’ai besoin de ton aide pour l’entrainement de demain avec l’équipe ? » « Pas de problème, je serais présent. En l’occurrence je dois te fausser compagnie … » « Oui, je vous l’emprunte exactement maintenant ! »
Arquant un sourcil lorsqu’il reconnu la petite voix cristalline de son amie d’enfance, le jeune lion employa une expression amusé et coutumière. Il savait que le lien qu’il unissait à sa meilleure amie était clair et irrévocable, et le peu de temps qu’il passait en sa compagnie était essentiel à leur équilibre de vie à tous deux. L’enfance les avaient tous deux rapprochés de manière inopinée et hasardeuse. Quand bien même elle demeurait une moldue, pour l’ange rigolard elle était plus que cela et ce n’était pas l’ascendance qui remettrait en question son amitié aveugle pour elle.
Dernière édition par Heathcliff G. Dalton le Dim 6 Sep - 17:42, édité 3 fois
Heathcliff G. Dalton ─ Elève ─ ─ Sixième Année ─
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Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:36
Le passé est révolu ; Sagesse & courage t'accompagnent. « On aime à deviner les autres, mais l'on aime pas à être deviné. ».
De nos jours. Domaine de Poudlard.
Le regard vrillant sur chaque mouvement des branches d’arbres qui se balançaient de gauche vers la droite puis de l’ouest vers l’est, la jeune femme aux reflets de cuivre se remémorait toutes ses petites aventures de ces derniers mois, depuis son entrée au collège de sorcellerie. Les temps avaient changés, le temps en lui-même ne cessait de s’écouler et de s’écouler encore telle la magnificence d’une cascade digne d’un des plus beaux lagons du monde. Indescriptible et louable, le Dalton tenait en main - encore et toujours - ce livre de Platon qu’il ne cessait de lire et relire. A force du temps, ce vieux manuscrit - hérité de son arrière grand père - aux louanges ancestrales, dépeignait un manuel dont les pages avaient jaunis avec le temps. Cette œuvre couchée sur papier avait l’illustre manière de démontrer que la mort et la vie était instinctivement liées d’une certaine manière. Ainsi son auteur émettait l’idée résolu que lorsqu’un enfant venait au monde, cela était une souffrance et que tout à son contraire sa fin sans fin sans précédant était une simple délivrance. Où pouvait bien le mener cette thèse dépourvue de sens, surtout pour un simple individu n’étant guerre intéressé ? Le questionnement n’avait pas lieu lorsqu’on parlait de réflexion réfléchit à Heath' Dalton. Non, la réponse a cette question, l’amenait à penser a cette relation anonyme et sans visage, car si il retranscrivait sur un bout de parchemin des phrases emplies de métaphores sincères et pensives, il n’aimait aucunement se dévoiler à autrui.
Et pourtant. La douce entente entretenue par le biais de simples missives laissait déjà sous entendre et apparaitre qu’il se délivrait du voile de son mystère, mais il n’en était pas vraiment encore le cas. Chaque renseignements qu’il échangeait avec sa correspondante - avec le temps il avait vite compris qu’elle était de nature féminine - lui apportait un peu plus de connaissance sur son identité. Elle était son énigme, pas vraiment, mais c’était une manière de parler pour un taciturne bien trop imaginatif et écrivain en herbe.
Assis sur le rebord d’une fenêtre de la tour de sa maison, le vaillant érudit se redressait tout en observant la couleur nacre et gris allante d’un ciel sans étoiles, ornée de nuages à la couche épaisse. La pluie ne ferait pas attendre sa présence, et rien que pour cela l’ange rigolard rebroussa son chemin, vers l’intérieur de la tour de la maison, là ou quelques années plus tôt sa défunte mère, venait elle aussi suivre le cursus scolaire. Mains dans les poches, l’ermite solennel vint parcourir les marches vers la sortie de la salle commune. A peine un pied vers le portrait, qu’une bande de jeunes femmes issus de la septième année, s’esclaffèrent a lui montrer leurs plus beaux sourires. Loin de s’attarder sur leurs attentions ennuyeuses et dont il ne remarquer strictement rien, Heathcliff se laissa guider par son envie soudaine de répondre à son « inconnu », son secret poétique.
Couloirs désert, silence platonique, bruit de pages qui se froissent sur la pliure d’un bouquin, chuchotis prémédités, rencontre silencieuse ; la bibliothèque du cinquième étage était devenue leur recueil d’échanges. Certain de ne pas se faire remarquer, le jeune mystérieux poussa doucement les portes du dédale littéraire, endroit de sa solitude première. Le sorcier parcouru chaque rangée de la vaste salle littéraire où régnait un climat d’innocence et de travail parfait tel un violon s’accordant avec les mouvements vifs de son archet. Le brun s’arrêta droit au fin fond de la pièce, prenant place en s’appuyant d’un léger appui contre le mur de brique ancien, couleur de nacre. Une plume fine à la main, Heath se mit alors à sa réponse - dont vous pourriez lire quelques passages -.
Le temps n’est guère encore à ce que je ne cesse de t’écrire. La force dont je fais usage pour te répondre n’est pas une corvée mais un plaisir dont je te réserve les attraits. La confidence de nos écrits est un « phénomène » qui me surprend, moi l’ermite solitaire et obstiné à mes heures. A de nombreuses reprises l’envie de comprendre l’humain m’est passé par l’esprit, tel une tempête qui est juste de passage dans une ville complètement déserte. La question de l’humanité chez l’homme n’est pas non plus ce qui revient le plus dans son comportement. Non bien au contraire, l’homme – au sens d’une généralité banalisée s’entend – ne se représentera que seul dans une contrée. L’assouvissement de sa victoire propre et de ses intérêts personnels prendra toujours une énorme ampleur à ses yeux. Il est vrai que tout humains, normalement constitué ne prétendront le contraire, ou bien il mentent ? L’action véridique ne sera que le revers de sa médaille. L’humain ne prend conscience de ce qui importait le plus dans sa vie, le jour il s’avers le perdre.
Je ne parles que très peu de moi, parce que j’estime que ce n’est encore important, et pourtant il suffirait d’un incident, d’une trahison pour que tous mes espoirs et mes objectifs basculent a jamais. La vie est courte et frappe a n’importe quel instant. Tu pourrais me prendre pour un sot, mais le fait que tu ne connaisse pas mon identité me rassure, du moins pour le moment. Je me décris au travers de ma philosophie mal assurée et pourtant tu arriveS a me cerner. A l’instant où je t’écris une pensée parcours mon esprit fanfaron et problématique: as-tu une idée de qui je suis réellement ? Enfin, laissons le temps jouait de son hasard qui est le plus grand romancier du monde selon ce très cher Balzac.
J’espère encore que tu sauras, une fois de plus déchiffrer mes longues et impossible énigmes parfois complètement dérisoires. Les lignes de ta plume, ne doivent aucunement avoir raison de tes soudaines interrogations. Sur ceux que l’histoire des ancêtres te donne le souvenir du pouvoir de la naissance de la magie. H.D
Dernière édition par Heathcliff G. Dalton le Dim 6 Sep - 18:01, édité 2 fois
«Time of your life» ▬ Chanson du moment: The Wreckers ▬ The Good Kind. ▬ Statut: Célibataire et désespérément en manque de meilleur ami. ▬ La liste de tes potes:
Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:42
Aaaaaaaaaaaaaaaah! Rob' Bienvenue! Bon courage pour l'écriture de ta fiche (:
Heathcliff G. Dalton ─ Elève ─ ─ Sixième Année ─
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Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:44
merci =)
Elizabeth Z. Lower ─ Élève ─ ─ Cinquième Année ─
─ Année d'Etude : 5ème Année ─ Baguette : Bois d'Aulne ; 28 cm ; Poil de licorne ─ Star sur l'Avatar : Emily Browning ─ Copyright & Co : Myself =D ─ Messages : 222
Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:45
Welcooooooome =D
Robert <3
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Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 12:46
thanks Elizabeth (:
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Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 18:04
désolé du double post mais je pense avoir terminée (:
Choixpeau Magique ─ Maître du Jeu ─ ─ Non Player Character ─
Sujet: Re: dalton • never say never. ended Dim 6 Sep - 18:55
Bienvenue à Poudlard, Heathcliff !
Hum, un grand courage, n'est-ce pas... Une force et un esprit audacieux... Je vois également de la force, de la générosité... Oui, tu feras un parfait Gryffondor !
Maintenant que tu es validé, tu peux aller ouvrir une fiche de liens, des demandes de RP's ou bien encore aller t'assoir sur un bon gros fauteuil de ta salle commune, en compagnie de tes camarades. Tu peux bien sûr maintenant discuter avec tes amis librement et déambuler dans les couloirs de Poudlard à ta guise sauf durant la nuit, naturellement... Sache que les préfets et les professeurs y veillent au grain et que tu risquerais perdre des points ou prendre une retenue, si l'on te trouve... Une dernière chose ; cette année à Poudlard nous avons à faire à des évènements... troublants. Alors fais attention lorsque tu es seul, qui sait ce qu'il pourrait t'arriver... Amuses-toi bien sur Thalamus Abditus !
Avis ! Nous recrutons des élèves pour faire parti des équipes de Quidditch !. Venez vite, le Quidditch est un sport génial, et il est rare de voir autant de places libres ! Si tu es tenté mais que tu ne sait pas comme on joue, je te conseille de te rendre sur le terrain, quelqu'un pourra surement te renseigner !
Bien, puisque je vois que tu as l'âge, tu as le droit de te promener à Pré-au-Lard lors des sorties organisées par l'établissement, si tu certifie à un Administrateur, en signant cette attestation, et en lui ramenant par MP, que tu as le droit d'aller visiter ce pittoresque village. N'oublie pas que ces visites sont un privilège, et que si ton comportement nuit à la réputation de l'école, ce privilège ne te seras plus accordé.
Code:
[i]Je soussigné VOTRE PSEUDO, autorise VOTRE PSEUDO à se rendre dans le village de Pré-au-Lard lors de sorties organisées par l'école de sorcellerie Poudlard, seul ou accompagné.
SIGNATURE[/i]
Je vois que tu es assez grand pour être préfet, félicitations ! Dépêche-toi tant qu'il reste des places, tu pourras avoir un œil supérieur sur les étudiants de Poudlard... Utilise ce pouvoir à bon escient, bien sûr !
L'an dernier, tu as passé tes BUSEs. Merci de bien vouloir enregistrer les notes que tu as obtenues ici, afin que nous puissions savoir quelles matières tu continues, ou pas. Tu ne pourras être complètement validé sans ces résultats !
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Sujet: Re: dalton • never say never. ended
dalton • never say never. ended
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