Mauvais moment - ou pas.

**─ Elève ─** ─ Cinquième Année ─

Venant de la volière Edward marchait dans les couloirs de Poudlard tel un escargot. Son hiboux lui avait passé la mauvaise nouvelle du jour : Tu rentres à la maison, disait la lettre. Ayant eu vent de ce qu'il se passait à Poudlard, son père de nature stricte avait décidé qu'il finirait son année et que l'année d'après il resterait chez lui à apprendre la magie par ses propres moyens ou plutôt par ceux de son patriarche. Une nouvelle qui avait frappé Edward de pleins fouet car cette école était tout ce qu'il avait de plus cher. Tout ces moments passés, ces connaissances devenus amis au masculin ainsi qu'au féminin. Comment allait-il pouvoir profiter pleinement de son adolescence cloitré dans une maison faite de marbre et ou l'odeur principale n'était autre que celle de la cheminée froide. Il ne pouvait laisser ça arriver mais pour le moment il ne pouvait rien y faire. Les couloirs semblaient longs, les tableaux chuchotaient lorsqu'Edward passait devant chacun d'entre eux.

Son regard se noircit. Il serra les dents, le poing puis força le pas. Des élèves, des murs, un ou deux professeurs puis une grande porte au beau milieu d'un couloir vide. La salle sur demande se dressait devant le jeune Griffondor. Les portes s'ouvrirent et laissèrent découvrir le bois humide d'une pièce pleurante. Edward entra à l'intérieur et savoura la chaleur des larmes qui coulaient sur sa peau. La salle recréait les sentiments du jeune, ce qu'il n'exprimait pas mais qui était enfouie à l'intérieur de lui. Au fond de la salle, un lit dégoulinant d'eau, une armoire ouverte sur le néant représentant le cœur vide d'Edward. Au beau milieu du plafond, un trou laissant passer quelques rayons gris du soleil emprisonné par l'orage.

Edward qui s'avançait de plus en plus tourna la tête vers une photo de famille posée sur une table de chevet près du lit. Il l'attrapa de ses deux mains fermes et la contempla quelques secondes. C'était une photo familiale prise il y avait de ça quelques années. Edward encore petit, sa maman ravissante et son père éblouissant. Le jeune homme attristé jeta le cadre qui s'éparpilla quelques mètres plus loin en cognant le bord d'un mur. Il leva la tête afin de sentir les gouttes d'eau puis recula tentant de trouver appuie sur le lit. Une commode mal placé et entre ouverte lui fit trouver cet appuie plus vite qu'il n y pensait. Sa jambe se cogna à elle et il perdit l'équilibre, dieux l'avait-il punit pour ce qu'il venait de faire ? Il posa sa main sur le derrière de sa tête puis la frotta l'air un peu perdu.

**─ Elève ─** ─ Quatrième Année ─

Apparemment sa ne va pas fort chez toi Edward.

**─ Elève ─** ─ Cinquième Année ─

*Saleté de commode. Je savais que j'aurais du te déplacer.*

Ce n'était pas la première fois qu'Edward venait se réfugier dans cet endroit qui n'était tout simplement que : sa chambre lorsqu'il était enfant. A Poudlard, il s'y rendait pour décompresser, passer le temps et écouter son cœur battre à travers l'armoire. Cette pièce savait comme s'y prendre avec le jeune car elle et lui ne faisaient qu'un. En levant la tête vers la sortie il aperçu Francesca les bras croisés mouillée des pieds à la tête. Les yeux d'Edward s'ouvrirent laissant paraître son étonnement. La jeune Griffondor pour qui il avait le béguin ces jours-ci était la première à entrer en lui. Cette façon de penser faisait sourire Edward, elle ouvrait une porte sur l'intimité du jeune garçon et pas n'importe la quelle.

Francesca - Apparemment ça ne va pas fort chez toi Edward.
Edward - C'est marrant que tu me dises ça. Tu viens d'entrer dans mon cœur.
Que vois tu ?

La voix d'Edward était douce et prenait place à travers toute la salle. Un rayon de soleil gris au par avant devait or et réchauffait de quelques degrés l'atmosphère. Les battements cardiaques d'Edward se firent remarquer par ceux sortants de l'armoire. « boom... Boom... boom » faisaient-ils à intervalle réguliers. La présence de Francesca réconfortait le Griffondor malgré l'envie de meurtre qui le tenait par la gorge. Il la regardait, encore et encore puis se leva passant ses mains sur ses jambes pour paraître plus présentable. Façon de parler, la pluie qui était tombée sur lui rendait ceci impossible. Il sourit alors.

Edward - Je ne sais pas si je dois être désolé. Désolé pour toi de me voir ainsi.

Son sourire s'agrandit, le fait de voir cette fille patauger dans l'eau, le tee-shirt lui collant à la peau et le visage trempé amusait Edward. Ça n'était pas vraiment la journée idéale pour elle d'entrer dans cette pièce alors que pas plus tard qu'avant cette journée les rayons qui traversaient la chambre illuminaient les murs d'une couleur jaune vive et apaisante.

**─ Elève ─** ─ Quatrième Année ─

Dans ton coeur ? Pourquoi pleures-tu Edward ?

Oh t'inquiete pas ce n'est pas grave, juste une avant douche !

Pourquoi sa fait boum boum la dedans ? ... tu m'as dit qu'on était dans ton coeur c'est ça, alors cette armoire fait le son de ton ...

**─ Elève ─** ─ Cinquième Année ─

Le sourire aux lèvres Edward regardait la scène de l'extérieur. Tout se ralentissait, se différenciait. Les battements de cœur du Jeune Gryffondor rythmaient le temps, comme si Edward voulait à tout prix immortaliser ce moment au plus profond de lui. Il posait ses yeux bleus vifs sur Francesca et observait ses moindres faits et gestes. Elle s'avançait vers lui, les gouttes d'eau tombantes sur ses épaules, d'un pas à l'autre son jean caressait ses jambes, son doux parfum qui émanait de son cou parfaitement dessiné amenaient en cette ambiance une touche de délices et d'envie autour du jeune. Cette façon de sentir les choses et de les vivre était pour Edward déstabilisante mais fortement plaisante. Pour la première fois il ressentait ce qu'était l'amour. De simples chose banales pour un, inintéressantes pour l'autre aux yeux d'Edward se transformaient par enchantement en un bien merveilleux. Pourtant, le visage de Francesca illuminé par les quelques rayons de soleils présents semblait montrer un sentiment d'embarras. Gêné sans doutes, Edward saisit doucement le cadre et la remercia d'un signe de la tête. « Dans ton cœur ? Pourquoi pleures-tu Edward ? ». Avant de répondre à cette question, L'amoureux se retourna vers la commode à l'humeur charrieuse afin d'y déposer ce qu'il restait du cadre.

- Cette pièce pleure pour moi Francesca, mes parents ont décidés qu'après cette année je ne reviendrai plus à Poudlard. Mon père dit que cette école se dégrade est qu'il ne la trouve plus digne de... moi. Mon père à toujours surestimé mes capacités et se trouve être un noble coincé qui finira enterré avec ses bouteilles de vin.

En entendant ses paroles sortir de sa bouche Edward se mit à imaginer son père et ses bouteilles de vin. Celles-ci toutes entreposées dans l'immense cave de la maison familiale. Rangées par rangées des plus anciennes aux plus récentes. Mr Miller se tenant devant, les regardant tomber unes par unes sans pouvoir faire quelque chose. Edward s'arrêta sur le visage de son père et ses grimaces puis revint à la réalité. Il arrêta de respirer quelques secondes puis se mit à rire tout seul sans en expliquer les raisons à Francesca. Elle qui avait assuré le jeune homme qu'il n'avait pas à être désolé était maintenant devant l'armoire d'où: se propageaient les battements du cœur d'Ed, elle se mit à demander. « Pourquoi sa fait boum boum la dedans ? ... tu m'as dit qu'on était dans ton cœur c'est ça, alors cette armoire fait le son de ton .. ».

- De mon cœur oui. Apaisant n'est-ce pas ? Écoutes maintenant comment ils s'emballent.

Edward se rapprochait doucement de cette présence bénéfique ou tout simplement Francesca, son palpitant comme il le disait plus tôt pressait le pas et l'atmosphère devint plus chaud pour Edward. Il pensait haut et fort dans sa tête - ne te retournes pas, ne te retournes pas – il n'était maintenant qu'à quelques centimètres d'elle. L'armoire se tut alors. Un blanc s'empara de l'entière salle. D'une voix douce et toujours dans ses explications il intervint.

- Lorsque je vais mal, ou que je suis tout simplement contrarié. Je viens ici, j'écoute ces battements en me posant sur ce lit derrière. Tout ce qui m'attriste s'envole et je peux moi, m'extirper de tous ces sentiments négatifs. Hors aujourd'hui. Je n'ai pas eu à attendre cela. Ta simple présence semble bénéfique à mon cœur Francesca.

**─ Elève ─** ─ Quatrième Année ─

<< regarder le temps qui passe.
et ne pas savoir l'arretter. >>

Francesca était bouche bée devant l'armoire, le son qui en sortait était rythmé, doux, apaisant. C'était bizarre car juste avant qu'elle n'entre, le son du battement n'était pas comme celui de maintenant. Elle laissa tomber ces bras le long de son corps, la tête légerement penché sur le côté, la demoiselle réflechissait tout en écoutant ce que disait Edward. " Cette pièce pleure pour moi Francesca, mes parents ont décidés qu'après cette année je ne reviendrai plus à Poudlard. Mon père dit que cette école se dégrade est qu'il ne la trouve plus digne de... moi. Mon père à toujours surestimé mes capacités et se trouve être un noble coincé qui finira enterré avec ses bouteilles de vin ".. Alors il devait partir, la demoiselle perdit son adorable sourire. La jeune gryffondore avait tout d'un coup envie de pleurer, savoir que celui dont elle était amoureuse depuis pas mal de temps maintenant aller partir, ne plus le voir, ne plus le suivre, elle ne pouvait difficilement pas le conçevoir, même si il ne savait pas la nature de ses sentiments, elle ne voulait pas qu'il parte. " Oh ... c'est ... je ... mhhh ... " Elle ne savait pas quoi dire. Elle était bouleversée par cette réponse, cette mauvaise nouvelle. Si elle avait sut, elle ne serait pas venus maintenant, mais un autre jour, et peut être que cette nouvelle n'existerait pas. Elle aurait aimé lui dire de ne pas partir, mais elle ne savait pas comment. Sa bouche était ouverte mais aucun son ne voulait en sortir. Son coeur battait irrégulierement, elle sentait que les larmes lui montaient aux yeux, mais elle se retenait. Elle ne voulait pas qu'Edward la voit comme ça. " De mon cœur oui. Apaisant n'est-ce pas ? Écoutes maintenant comment ils s'emballent. Lorsque je vais mal, ou que je suis tout simplement contrarié. Je viens ici, j'écoute ces battements en me posant sur ce lit derrière. Tout ce qui m'attriste s'envole et je peux moi, m'extirper de tous ces sentiments négatifs. Hors aujourd'hui. Je n'ai pas eu à attendre cela. Ta simple présence semble bénéfique à mon cœur Francesca. " Il avait dis sa comme ça. La rouge et or, ne s'attendait pas à ce qui lui dise ça, elle se pinça les lèvres, s'empechant de sourire. Elle sentit sa présence derriere elle. Elle baissa la tête, ses cheveux mouillés tomberent devant ses yeux. Puis elle se retourna lentement, jusqu'a ce qu'elle soit devant lui. Et tout doucement " C'est vrai ? ... C'est moi qui t'appaise Edward ? " Elle souria, puis releva la tête vers lui, elle ne savait pas qu'ils étaient aussi près l'un de l'autre, elle rougit violemment.

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Edward debout derrière Francesca ne bougeait plus, il était si proche d'elle qu'il pouvait sentir la chaleur de son corps. Tout comme le jeune Griffondor elle était immobile, ce qui rassurait Edward lui permettant ainsi de garder son calme. « C'est vrai ? ... C'est moi qui t'apaises Edward ? » demanda t-elle. À ces mots il sourit, amusé. Lors de films romantiques l'homme dans la situation d'Edward posait une question de la même manière et la femme répondait souvent comme venait de le faire Francesca. Le moment était venu, elle se retournait.

- C'est effrayant je sais, mais maintenant. Je sais aussi pourquoi.

Un souffle, puis... le silence. La pluie se retint de tomber, figée au dessus des deux êtres. La pièce devint tout à coup ensoleillée par multiples rayons dorés s'accaparants le temps d'une photo, l'espace d'une scène immobile. Edward tendit sa main jusqu'au visage de Francesca et en caressant sa joue, délicatement retira une mèche de cheveux passant alors sa main tout le long de sa bouille angélique. Il plongea son regard dans le sien, et maintenant s'y évadait. Francesca leva la tête, ce qui rapprocha les deux jeunes de plus en plus près. Le cœur d'Edward battait à la chamade, ses jambes étaient au bord de l'abandon et la température montait promptement. Il glissait ses mains dans son dos, descendait jusqu'à la taille puis enfin approcha ses lèvres jusqu'à celles de l'être tant désiré. L'adolescent ferma les yeux et effleura sa lèvre supérieure ressentant alors une intense boules à l'intérieure de son corps se libérer et emplir ses muscles, ses sentiments. De fines goûtes d'eaux se mirent de nouveau à tomber et ajoutaient une touche de romance à cette atmosphère déjà remplie d'amour. C'était un moment des plus agréables pour Edward ne pouvant se défaire de l'étreinte qu'il portait à Francesca. Il se retira finalement de ses lèvres naturellement douces puis revint à sa place initiale tenant tout de même la jeune Gryffondor entre ses bras quelque peu tremblants. Les mois avaient passés depuis la rencontre des deux et Edward connaissait les sentiments qu'avait Francesca pour lui et pourtant. Après ce baiser sensuel il se demanda pendant quelques secondes comment allait elle réagir. De tout son cœur il espérait maintenant qu'elle ne parte pas en courant et qu'elle l'embrasse à son tour. Qu'il puis-ce dire et montrer à quel point il serait fier d'avoir pour bien aimée cette fille appelée Francesca Rogriguez.

**─ Elève ─** ─ Quatrième Année ─

Francesca était maintenant pret de Edward, elle sentait son coeur s'emballait et ses joues rougirent à une vitesse que jamais elle aurait crut possible. Elle n'aurais jamais crut qu'elle aurait put être dans une situation comme celle ci et surtout avec le garçon dont elle était follement amoureuse et depuis quelque temps elle avait appris encore plus de chose à son sujet ce qui avait renforcer ses sentiments à son egard. Elle souria genée quand il lui dit que c'était effrayant et qu'il savait pourquoi. Puis le son s'arretta net. Elle plongea son regard dans le sien, elle s'y perdit. Le coeur a ses raisons que la raison ignore, la raison du coeur de Francesca était Edward, elle ne voulait pas qu'il parte, elle tenait trop à lui, mais elle savait que ce n'était pas reciproque, mais ses doutes se dissiperent quand le jeune homme posa sa main sur le visage de la jeune gryffondore pour lui remettre une méche, elle suivit du regard le geste. Puis elle sentit ses mains descendre le long de son dos pour enfin s'arretter à sa taille. Elle sentait que ces jambes allaient se derober sous elle. Elle sentait le pouls de son coeur dans ses tempes. Puis le jeune homme effleura ses lèvres. Elle ferma les yeux. Puis il se retira trop vite au gout de Francesca qui avait toujours les yeux fermés. Pourquoi ? Elle était embrouyé à présent, et maintenant qu'elle avait goutter à ses lévres, elle ne pourrait plus s'en passer. Elle souria. Puis rouvrit les yeux, et regarda Edward qui ne la lacha pas. Elle fit glisser ses mains sur le torse du jeune homme afin de les placer dans son cou, puis elle les fit parcourir dans ses cheveux maintenant mouillés par la fine pluie qui était de nouveau tomber. Puis elle se mit sur la pointe des pieds, et l'embrassa à son tour. Mais plus fougueusement que le premier baiser échanger. Si il y avait un moment pour lui dire ce qu'elle lui ressentait, c'était bien à ce moment là. Alors elle se colla à lui, et donna tout ce qu'elle pouvait dans le baiser sans pour autant lui faire mal.

**─ Elève ─** ─ Cinquième Année ─

Ce qu'avait redouté Edward n'arriva pas. Pensant connaître les sentiments de Francesca à son égard il avait misé à 80% de chances qu'elle ne refuse sa proposition. Lorsqu'elle posa sa main sur son torse le jeune homme sourit intérieurement. Quand elle monta jusqu'à son coup il frissonna, Une relation allait alors naitre entre les deux parties. Edward ferma les yeux la laissant de nouveau entrer en contact avec sa personne. Plus fougueusement, il se fit embrasser. La salle s'illumina à nouveau et les battements de cœur se firent omniprésents et battaient de plus en plus vite. Edward collé à Francesca l'enlaça de ses bras fort et se laissa embarquer par la fougue de la jeune Gryffondor. Tout allait très vite, il la caressait de toute part, de même qu'il l'embrassait à plusieurs reprises sur ses douces lèvres, son cou puis il retira sa tête un court moment comme pour reprendre son souffle. Il savait que le déroulement de cette scène les mèneraient à faire quelque chose qu'ils regretteraient peut être plus tard.

- Es-tu sur de vouloir faire ça ?

Demanda t-il avant de reposer ses lèvres au bas du cou de Francesca. Jamais il n'avait ressentit ce qui montait en lui. Cette envie qui prenait de plus en plus de place. Il posa ses mains sur ses fesses et d'un coup ferme il tira, amenant alors Francesca à ne plus touché le sol. Portée jusqu'à la commode Edward la posa dessus. A la taille de sa poitrine il monta son regard jusqu'au sien d'un air incertain.

- Parce que tu sais que si tu n'es pas prête, il n'y a pas de raison pour qu'on le fasse.

Après tout Edward et Francesca s'étaient comme courus après durant si longtemps maintenant que d'aller trop vite pourrait casser ce pourquoi ils s'aimaient et installer une monotonie dans le couple à peine ensembles. Edward était un jeune homme romantique et les coups d'un soir ne lui plaisait guère. Il voulait forger quelque chose de solide avec celle qui se trouvait en face de lui et voulait partager tellement de belles choses avec elle qu'il n'était plus vraiment sur de vouloir aller plus loin sur ce coup la. Certes il désirait Francesca plus que tout au monde mais pas comme ça.

**─ Elève ─** ─ Quatrième Année ─

Francesca était entrain d'embrasser Edward d'une maniere fougueuse, l'enlaçant de ses bras autour de son cou. Elle fourra ses douces mains dans les cheveux de celui qu'elle aimait profondement. Il commença à la caresser de toute part. Quelque chose naissait au plus profond de la demoiselle, quelque chose qu'elle n'avait jamais ressentit étant donné qu'elle n'avait jamais embrasser quelqu'un ou même sortit avec quelqu'un. Edward était le premier homme de qui elle était tomber amoureuse. Sa mère ne voulait pas qu'elle marie amour et travaille trouvant que tomber amoureuse à son âge n'était qu'une perte de temps, mais la demoiselle n'avait jamais pipé mot, preferant faire ses propres choix. Et d'un autre côté, sa mère ne sera pas toujours là quand elle aura des peines de coeur, et pour l'instant la demoiselle ne pensait plus à rien, seulement au désir qui montait en elle tandis qu'elle embrassait Edward. Puis il rompit le baiser, pour le terminer dans le cou de la jeune femme. Il lui demanda ensuite si elle était sur de vouloir faire ça. Puis il la réembrassa dans le cou, tout en la portant par la taille, elle mit ses jambes autour de la sienne de taille. Elle colla sa joue à la sienne, et parcourut d'un air vague la pièce. Puis il la posa délicatement sur la commode, puis il releva la tête vers elle. Elle le regarda droit dans les yeux. Il lui dit, que ce n'était pas la peine qu'ils continuent si elle n'était pas prette. Or elle ne le savait pas, elle n'était pas totalement prette mais le désir qui la succombait de l'intérieur était complêtement tout autre. Elle sera les lèvres, et laissa tomber ses mains sur les épaules d'Edward. Elle le regarda, puis pencha légérement sa tête sur le côté pour enfin regarder la pièce comme pour chercher une réponse à sa question, mais celle ci ne lui en donna pas.

Je suis tombée amoureuse de toi, Edward, mais je ne pense pas être prette, enfin pas maintenant même si mon corps le veut, mon coeur me dit d'attendre.

Elle reporta son regard sur l'homme qu'elle regarda ensuite droit dans les yeux. Elle avait peur que maintenant celui ci s'enfuit. Juste parce qu'il n'avait pas eut ce qu'il voulait. Coucher avec elle. Et coucher avec la fille de la directrice de l'école. Elle soupira.

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- Jamais tu ne feras souffrir une demoiselle.

Des mots bien choisis, à Edward étaient lancés d'un ton d'une intense douceur. Voilà comment Isa la maman du petit âgé de 11 ans éduquait son enfant. Assis sur son lit il écoutait sagement ces paroles qu'il se promettait d'exécuter tout au long de sa vie. Mme Miller voulait un enfant futur gentleman qui serait le mari parfait. Depuis quelques années elle occupait son temps libre à lui inculquer les bonnes manières et Edward murissait de jour en jour. Dans d'autres familles la maman lisait une histoire à son petit mais chez les Miller rien était comme chez les autres et personne ne s'en plaignait. Devant Francesca, Edward repensa à ces paroles et c'est certainement grâce à ceci qu'il tint son engagement.

- Je respecte ce choix et te promet d'attendre le bon moment.

Dit il sereinement les yeux toujours rivés sur sa belle. Pour terminer ce moment plaisant il posa un dernier baiser sur les lèvres de sa tendre et fougueuse amoureuse puis se retira. Depuis quelque temps des évènements peu réglos s'intégraient à l'école comme si c'était normale. Des élèves se faisaient exclure et pourtant la vie continuait. Jamais au part avant, un directeur n'aurait fait boire de potion à un élève pour connaître la vérité et il en était d'ailleurs interdit. Edward en avait fait les frais et cette nuit dans le bureau il avait été contraint de divulguer des choses entrainent ces évènements. En ce moment même une réunion allait commencer dans un endroit caché aux yeux du monde et ou les sorciers prêts pour la rébellion allaient choisir de prendre leur destin en main ou non.

- J'aimerais rester plus longtemps avec toi mais je crois être attendu. Poudlard n'est plus un endroit très sur. La lettre de mon père disait vrai mais ça n'est pas une raison pour ne pas prendre les choses en main. Vais-je te retrouver au repère ? Ou peut être veux tu m'accompagner ?

Tout en demandant à Francesca d'intégrer les rangs de la rébellion il commençait à prendre direction de la sortie marchant en arrière. Maintenant qu'il était avec elle, il voulait partager ces futures moments avec elle même si la vie n'allait pas être toute rose bonbon. Il n'était pas non plus sur qu'elle sache quelque chose sur le repère mais si il voulait que ça marche il devait lui faire un minimum confiance.

[Tu peux finir le RP si tu veux (:]