Après les cours! Pv Celine

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Alexia étais sortie après une longue, très longue journée de cours. Elle avais dans l'idée d'allez dans le parc, mais vu le monde qu'il y avais elle rebroussa chemin et opta pour la cour. Elle étais presque toujours déserte, et ca lui allais bien. Elle s'asseya sur un banc et sortit un livre écris en russe, elle ne le parlais jamais sauf avec Mirka et ses deux soeurs avec qui elle aimais bien etre de temps en temps. Bien qu'elle soit dans la même maison que Mirka, on ne pouvais pas dire qu'elles étaient les meilleures amies du monde, même si elles s'entendaient plutot bien.
Alexia étais une jeune femme qui ne parlait pas beaucoups, elle étais renfermée sur elle même, bref il faut dire qu'elle n'avais pas été vraiment gatée dans la vie, sa mère étais une alcolique et son père n'avais jamais fais attention a elle. Elle avais souvent tout fais toute seule. Parfois elle se demandais si ses parents pensais a elle par moment, si ils se demandaient comment elle allait, si ils pensaient un peu a elle, mais elle savais bien que les réponses a ces questions étaient non!Bien sur que non ils ne l'aimaient pas sinon ils seraient venus la cherchée!
Elle leva la tête et l'air frais arriva sur son visage, si doux et si fin, elle étais une jolie blonde avec le teint pale, elle se détacha les cheveux pour que le vent s'engouffre dedant, elle aimais cette sentation la, elle étais bien et naturelle, elle souria, lorsqu'elle vit dans un coin de la cours une autre personne qui étais plus ou moins caché dans l'ombre, elle ne voyais donc pas son visage, elle repris son livre entre les mains et recommenca a le lire...

**─ Préfet ─** ─ Sixième Année ─

Un rêve. Encore un de ces cauchemars effrayants, non pas pour ce qu'ils contenaient, mais pour ce qu'ils avaient de réel. Car ces visions, ces tortures mentales, elles prévoyaient la réalité. Elles exposaient le passée, montraient le présent, supposaient l'avenir ... si l'on ne faisait rien. Et alors, il se réveillait le corps enveloppé d'une sueur glacée qui, comme un avertissement, semblait murmurer : "Prends garde, Céline ... si tu ne fais rien, alors ça arrivera, et nul ni personne ne pourra changer les choses ... ce qui est fait, est fait". Voilà pourquoi, il s'est réveillé ce matin là, un "non" déchirant s'extirpant d'entre ses lèvres tremblantes et gelées.

Ses camarades en sursaut l'avaient observé. Lui, Céline Destin de Beauregard, hurler ? C'était tellement surprenant, ce jeune homme, bizarre, étrange, insaisissable qui d'ordinaire n'émettait aucun son, autrement que lorsqu'un professeur posait une question à laquelle il répondait toujours par une réponse exacte au mot près, sinon le silence de l'élève qui n'en sait rien, mais s'en contre-fiche. Il était là pour apprendre, pas parce qu'il savait tout : sinon, quel intérêt ? Après que d'un regard à la foule, il eut dispersé les curieux, l'esprit envahit des flash qui, comme de cruelles réminiscences lui répétait le danger, il avait prit ses affaires pour se diriger dans la salle de bain des préfets.

L'eau chaude de la baignoire immense comme une piscine portait les reflet de son rêve. La jeune fille ... il frappa la surface avec hargne, à la fois effrayé d'être ce qu'il était mais aussi énervé de ne rien pouvoir y faire. Alors, la surface mouillé du mur marbré lui renvoya l'image de la créature ... Et il plongea, comme un lâche, dans les profondeur de l'eau, les yeux clos, pour ne rien voir d'autre ... Mais l'araignée sautait alors sur la jeune demoiselle, et la tuait ...

* Pas si je l'en empêche ... *

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Elle était là, comme prévu. Ses cheveux dorés sous la lumière orangée du soleil amorçant sa descente, elle était plongée dans un livre, comme une fugitive de la dureté du monde réel. Qui avait-il de plus beau que de s'évader entre les lignes d'un roman, et de perde de vue à quel point vivre ici-bas était difficile, douloureux et seulement parfois, heureux ? Mais nul temps pour la philosophie, l'araignée allait bientôt tomber du toit. La tarentule géante, comme la forêt en regorge.

A l'instant fatidique, Céline sortit de l'ombre. Le corps de l'araignée commençait tout juste sa chute, et, levant sa baguette, le jeune sorcier s'écria :

- Aragna eximé !

Et le monstre fut alors propulsée, tombant des deux étages qui le séparait du sol. Céline se précipita pour voir au dessus de la balustrade, un cadavre inanimé. La feinte était toutefois parfaite, car l'animal se redressa, cracha de fureur, et s'en alla en direction de la forêt, comme un être diabolique promettant un retour imminent ... Céline s'en retourna vers la demoiselle, l'interrogeant d'un unique regard.

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Il y a souvent des images, des flash, qu'on ne eput en aucun cas controlés. Alexia avais souvent des cauchemars, concernant son enfance, toutes ces fois ou elle avais vu son père battre sa mère, toutes les fois ou elle avais vu sa mère boire, parce qu'elle ne pouvais pas assumée le fait que sa petite fille soit une sorcière, toutes ces fois ou elle ne supportais plus de vivre. Alexia n'étais pas une grande pavarde et rare sont les fois ou elle parle aux autres, sauf si c'est vraiment necessaire, ou en cours.
Elle lisait donc son livre, sans vraiment le lire, c'étais juste histoire d'avoir quelque chose pour s'évadé de ce monde trop cruel, ce monde ou elle n'avais pas sa place, mais ou elle étais obligée de vive. Heureusement pour elle, sa période a l'orphelinat fut brève, mais elle avais commencé a avoir des eccès de violence incontrolable, ou elle même ne savais pourquoi ni comment les controlés. Lorsqu'une famille d'Anglais avait voulu l'adopté ils ont du bien reflechir, mais sa bouille d'ange les avaient séduient et finalement une fois les formalités faites, elle s'envola avec eux a Londres. Fini la Russie, et les hivers froid, fini son ancienne vie.
Ce qui la ramena au présent ce fut l'intervention de ce jeune homme qu'elle reconnut, c'étais Celine. Elle regarda derrière elle et vit une arignée géante derrière elle, elle fit un bond, parce qu'elle ne l'avais pas senti venir, son coeur s'accelera lorsqu'elle se rendit compte ce qui aurais bien put se passé si il n'avais pas intervenu. L'araignée s'en alla vers la foret, furieuse de repartir bredouille, et crachant parce qu'elle avais été repoussée brutalement.

"Merci"

Un leger accent sous son anglais loin d'etre parfais, mais elle écoutais beaucoups et donc progressais assez vite. Elle regarda le jeune homme, jamais en six ans elle ne lui avais parlés, pourtant elle le croisait souvent dans la salle commune et étant dans la même classe. Mais Alexia n'allais pas vers les gens si ceux ci ne venais pas vers elle, et aparament c'étais pareil pour lui. Elle avais entendu telement de choses sur lui! Certains disaient qu'il étais fou, les autres qu'il serait médium...Elle ne jugais pas car elle ne le conaissait a vrai dire quasiment pas. A vrai dire, elle non plus n'inspirais pas vraiment confiance a ses compagnons de maison! Apart Mirka et les filles de sa chambre avec qui elle partagait que peu de mots. Elle étais jolie certes, mais plutot glacial et les rares garcons a s'y etre frotté on retenu la lecon!
Elle s'étais levée de son banc et a vrai dire elle ne savais pas comment elle devais réagir au regard interogateur du jeune homme, elle n'avais pas vue venir l'araignée et elle frissona lorsqu'elle imagina ce qui aurais pu se passé. Elle avais deja été dans la foret et savais donc quel genre de créature il y avais, mais elle étais un peu folle parfois et quand elle avais decidé d'y allez c'étais en pleine nuit et il avais fallu l'intervention de Mirka, qui au passage n'avais rien a faire la non plus pour lui sauvée la mise...
Que dire a celui qui vous avais sauvé la vie? Elle n'en savais trop rien mais le regard qu'elle adressais au jeune homme, lui voulais tout dire, elle étais le genre de personne a tout exprimé par le regard, et ca lui allait parfaitement, les yeux sont le reflet de l'âme non?