Alana Meersch. terminée.

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Meersch
Alana Leya

Feat. Amber Heard

B E G I N N I N G

■ nom ; Meersch.
■ prénom ; Alana ; Leya.
■ âge ; 16 ans.
■ date de naissance ; le 12 février 2044, à Londres.
■ habitat ; Alana vit avec ses parents et ses deux frères, dans les alentours de Londres, dans un grand manoir, un peu à l'écart de l'agitation de la ville et des curieux.
■ statut de sang ; Sang-Pur.
■ composition de la baguette ; 25,6 cm, rapide, souple, en bois de saule, contenant une plume de phoenix.
■ maison/poste convoité(e) ; Serpentard ; il est dangeureux de vouloir changer les habitudes d'une famille ...
■ épouvantard ; Il représente l'ensemble de la famille de la jeune fille, avec au premier plan, Aaron et Justin.
■ patronus ; Une panthère.

(c) SWEET

D E R R I E R E . L . E C R A N

■ prénom/pseudo ;

Marie.

■ âge ;

16 ans.

■ présence ;

4/7.

■ comment trouvez-vous le forum ? ;

Super <3.

■ codes ;

Thalamus Abditus, la magie, à jamais.

■ autre ;

Rien de plus =)

Dernière édition par Alana Meersch le Mer 9 Sep - 18:45, édité 26 fois

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

C H A R A C T E R

■ physique ;

C’est bien connu, il ne faut pas se fier aux apparences ; une jeune fille aux airs angéliques n’est pas forcément un ange. Alana en est l’exemple même. En effet, quand vous posez les yeux sur elle, elle paraît être une adolescente gentille, sage et obéissante, mais en réalité, elle ne l’est pas vraiment. Derrière son joli sourire et ses beaux yeux clairs se cache une jeune fille indécise et manipulée tout autant que déterminée et manipulatrice. Avant se retrouver en face d’elle, on ne peut pas savoir comment elle va réagir, mais lorsqu’on la voit … il suffit de croiser son regard pour avoir une idée de ce qui va suivre. Et ce, pour une simple est bonne raison : ses yeux la trahissent, constamment. En effet, quand elle ne veut pas laisser transparaître ses sentiments, Alana n’a aucune difficulté à afficher un air indifférent, une expression totalement indéchiffrable ; mais elle a beau faire tous les efforts du monde, son regard exprime toujours ce qu’elle ressent. La joie, la colère, la peur, la tristesse, l’incompréhension … aucun de ses sentiments ne peut être masqué par son regard. Ses yeux gris clair, tirant sur le vert, sont une source d’information non négligeable pour tous les gens qui la côtoient. Quant à elle, Alana considère cela comme une faiblesse. Elle aimerait tellement pouvoir masquer sa peur devant son père, sa terreur devant Aaron, sa douleur devant sa mère, sa tendresse devant Justin … Mais elle ne peut pas. Tous les membres de sa famille ont appris à lire en elle ; chacun sait comment faire pour la toucher, la blesser, la persuader. Mais ils sont les seuls à avoir ce pouvoir, ils sont les seuls qui la terrorisent assez pour qu’elle se laisse faire. Mais aujourd’hui, tout ça c’est terminé, elle ne sera plus jamais une marionnette qu’on s’arrache ! Ce temps est révolu ; elle a décidé de voler de ses propres ailes, quitte à ce qu'elles prennent feu ...

Il n’y a aucun doute ; Alana est bien la fille de ses parents. Elle possède les mêmes yeux, les mêmes cheveux, le même sourire que des générations de Meersch avant elle. Mais la personne a qui elle ressemble le plus, c’est sa mère. C’est d’ailleurs pour cette raison, en particulier, qu’Emily tente d’arracher sa fille à l’autorité de son père et de ses frères ; elle veut que cet enfant, qui lui ressemble traits pour traits, suive la même voix qu’elle, l’aide à atteindre ses objectifs, pas ceux des autres. Mais Alana, contrairement à tous les proches de la famille, n’est pas d’accord avec cette affirmation : elle n’est pas identique à sa mère. Alana fait 1,70 mètres, alors que sa mère atteint les 1,75 mètres ; pour l’adolescente, il s’agit d’une première différence. Sa peau est un peu plus claire que celle de sa génitrice ; ses yeux sont plus expressifs ; ses cils sont plus longs, plus recourbés ; son visage est un peu plus fins ; ses pommettes légèrement plus hautes ; ses fossettes beaucoup moins prononcées …Ce ne sont que des détails, mais Alana s’y accroche ; elle n’est pas comme sa mère. Elle n’est comme aucun membre de sa famille et elle ne sera jamais comme eux !

■ caractère ;

Comment décrire le caractère d’une jeune fille telle qu’Alana ? Il est extrêmement difficile à quiconque de percer sa véritable personnalité. Secrète, mystérieuse et souvent silencieuse, elle ne laisse pas n’importe qui pénétrer dans son cercle de relation. D’ailleurs, la plupart des gens préfèrent se tenir loin d’elle ; ce n’est pas une mauvaise chose, à la fois pour eux, et pour elle. En effet, Alana n’aime pas la compagnie des autres, elle préfère de loin la solitude. De plus, généralement froide et méprisante, elle est loin de représenter l’amie idéale. Et c’est sans compter sa sombre réputation, qui, certes, trouve sa source dans son nom de famille, mais dont la jeune fille a toujours pris soin d'entretenir la flamme depuis son entrée à Poudlard.

Alana inquiète, intrigue et intéresse à la fois, mais surtout, elle terrorise. C’est sûrement ces changements d’attitudes constants, brusques, inattendus, qui la rendent aussi menaçante. En effet, ses réactions sont toujours très surprenantes. Elle peut être un jour complètement éteinte et silencieuse, et le lendemain, faire preuve d’une grande sociabilité. Il lui arrive d'être froide et hautaine, et l'instant d'après, de se montrer extrêmement chaleureuse avec les gens qui l'entourent. Parfois, elle parle avec calme et quelques secondes plus tard, elle peut devenir agressive envers son interlocuteur, allant jusqu'à lui mettre son poing au milieu de la figure ou lui jeter un sortilège. Quand elle voit une personne en train de pleurer, elle ira soit lui remonter le moral, soit enfoncer encore plus loin le couteau dans la plaie. Etrange ? En effet. Mais sachez une chose : elle ne fait jamais rien au hasard. Tous ses gestes sont guidés, programmés, réfléchis, et ce, pas forcément par elle … Dans tous les cas, vous l’aurez compris, Alana est … spéciale. Paradoxale. Lunatique. Imprévisible. Indomptable. Meurtrie. L'explication ? A l'intérieur de sa tête, deux êtres se battent pour une victoire qui semble impossible : l'ange et le démon. Parfois c'est l'un qui l'emporte, d'autres fois c'est l'autre. Mais personne ne peut prévoir à l'avance l'issue du combat ...

Une question persiste. Comment se fait-il qu’elle réagisse de façon aussi changeante ? Son enfance « mouvementée » ? Ses frères ? Ses parents ? Dans tous les cas, sa famille est responsable de cette attitude déstabilisante. Car oui, ne pas savoir à quoi s’attendre, c’est déstabilisant. Mais la jeune fille ne reproduit-elle pas tout simplement ce qu’elle a vécut dans son enfance ? Chez elle, le bien et le mal se sont toujours combattus de face, alors pourquoi, une fois seule, se séparerait-elle de cette façon de faire qui a bercé ses premières années ? Il est difficile de se défaire d’une habitude, et en particulier lorsqu'il s'agit d'une habitude familiale au milieu de laquelle on n'a jamais réellement réussi à se situer …

Mais si Alana se cache derrière ses réactions imprévisibles, au fond d’elle, elle sait ce qu’elle est réellement. Une adolescente sensible et fragile qui veut juste se protéger, à la fois de sa famille, mais aussi des autres … et surtout, d’elle-même. Elle a peur de faire les mauvais choix, peur de se perdre sur le chemin tortueux qu’est la vie, peur de ne pas être à la hauteur de ce qu’on attend d’elle, peur de devenir vulnérable si elle se livre trop … Elle aimerait tellement que les choses soient simples ; que les gens ne jugent pas ; que les erreurs puissent s’effacer d’un seul souffle du vent ; que les fantômes du passé ne viennent pas la tourmenter ; que sa famille la laisse vivre sa vie sans chercher à la diriger. Pourquoi ne peut-elle pas être libre de ses faits et gestes ? Pourquoi faut-il toujours qu’on lui dise ce qu’elle doit faire ? Mais pire encore, pourquoi s’obstine-t-elle à tenir tête à tout ceux qui veulent diriger sa vie ? Son existence ne serait-elle pas plus simple si elle se laissait guider sur un chemin qu’elle n’a pas choisi mais qui lui promet la gloire et la richesse ? Sûrement. Mais respecter sa famille c’est une chose, s’y soumettre, s’en est une autre … Hors de question pour Alana de laisser quelqu’un d’autre qu'elle diriger son existence. Certes, elle a peur de sa mère, elle est morte d’angoisse à proximité d’Aaron, elle tremble de tous ses membres face à son père, mais elle n’a pas l’intention de se laisser faire pour autant. Il y a encore quelques années, elle était trop jeune pour s’opposer à quoique ce soit ; mais aujourd’hui, elle a confiance en elle – du moins elle essaye de s’en persuader – et elle a bien l’intention de choisir sa propre voix. Etre une marionnette, c’est terminé ! Son père, sa mère, Aaron et même Justin … elle ne cédera plus à leurs demandes, quelles qu’elles soient ! Une chance pour Alana, quand elle veut quelque chose, elle l’obtient. La détermination, elle en a plus que sa famille ne peut l’imaginer ; elle est prête à tout pour échapper au destin qui lui est destiné. C'est cette envie d'y arriver qui a clairement libéré ce côté machiavélique de sa personnalité depuis quelques mois ... Ce qu'elle ne comprend pas, c'est qu'on peut être à la fois manipulatrice ... et manipulée.

Mais les choses peuvent changer n'est-ce pas ?

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

S T O R Y

■ histoire ;

C'était une journée particulièrement froide du mois de février. Cela faisait déjà deux jours que la neige tombait à gros flocons et que la température ne dépassait pas les -10°C. Il faut dire que tout l'hiver avait été rude. A croire que les dieux voulaient avertir de l’arrivée imminente d'un événement particulier de part cette atmosphère glaciale qui régnait sur Londres et ses environs. Qui sait si ce n'est pas l'arrivée de cette magnifique petite fille, né vers trois heures du matin, dans l'une des nombreuses chambres de l'hôpital Sainte-Mangouste, que les forces supérieures tentaient d'annoncer à travers ces caprices du ciel ? En posant les yeux sur le nouveau-né, on pouvait se poser la question ...
On dit que tous les bébés se ressemblent ; ce n'est pas faux, mais ce n'est pas totalement vrai non plus. Quiconque s'est attardé au service maternité de l'hôpital Sainte-Mangouste en ce début de matinée du 12 février 2044 pourra le confirmer : certains nouveaux-nés présentent très clairement des différences ; certaines sont même si prononcées qu'il est impossible de passer à côté. C'était le cas de cet enfant. Alana était belle. Déjà, à quelques heures à peine, on pouvait lui attribuer un tel qualificatif. Mais cette beauté avait quelque chose de dérangeant. On décelait sur son visage une réelle froideur ; une sorte d'anthipatie naturelle qui lui promettait un avenir à la fois solitaire et puissant. Ses yeux clairs révélaient un caractère patient, presque intouchable. En effet, elle se tenait immobile, dans son petit berceau, sans pousser le moindre cri ; et quand vous vous penchiez sur elle, elle vous fixez de son regard froid et perçant, avec une telle intensité, une si grande curiosité retenue pour un nouveau-né que vous vous sentiez obligé de détourner les yeux.
Déjà, à peine mise au monde, Alana avait le don de mettre les gens mal à l'aise ; cela lui dessinait, en plus de sa situation sociale, un avenir plein de pouvoir ...

Généralement, le dernier enfant d'une famille a souvent plus de privilèges que les autres ; après lui, il n'y aura personne, alors on tente de le rendre le plus heureux possible, de lui offrir ce que l'on a pu omettre d'apporter aux autres, de ne pas répéter les erreurs que l'on a pu faire avec ses aînés ... Mais parfois, il se passe l'effet inverse : c'est sûr lui que toutes les erreurs des parents s'écrasent ; et quand ça arrive, ça fait mal.
Etre né dans une famille telle que celle des Meersch, c'est difficile ; mais quand en plus, vous êtes le dernier des trois enfants, et d'autant plus, la seule et unique fille, ça devient extrêmement plus compliqué, et ce, en particulier quand vous pouvez servir les intérêts des autres membres de la famille. Alana était exactement le genre d'instrument dont rêvait son père pour ses affaires, sa mère, pour atteindre une gloire sociale encore plus importante, et ses frères jumeaux, pour mieux écraser l'autre. Au milieu de ces quatre personnes pleines d'ambition et sans scrupules, Alana était tiré de droite à gauche, sans que jamais personne ne lui demande son avis. Elle était à la fois la plus jeune et une fille ; autremement dit, elle n'avait pas son mot à dire : se taire et obéir, c'était tout ce qu'on lui demandait.

Son père, Daniel, l'emmenait avec lui lors de certaines négociations un peu mal honnête, tout simplement parce qu'on imagine mal qu'un homme accompagné d'un tel ange blond ait des idées mauvaises en tête. Quelques fois aussi, Alana lui servait d'alibi : tout le monde était habitué à voir Daniel en compagnie de sa fille, où qu'il aille, ainsi, lorsque ce qu'il avait en tête risquait de nécessiter l'usage de la magie - bien évidemment pas de façon conventionnel – il la laissait au manoir, en prenant ses précautions pour que personne, excepté les membres de la famille ne la voit ; puis, lorsque, parfois, des soupçons pesaient sur lui, il répondait tout simplement qu'il avait passé la journée avec sa fille, à lui faire découvrir de nouveaux aspects de la magie. En public, il se faisait passer pour le père idéal, mais dès qu'ils se retouvaient en famille, Daniel se comportait avec sa fille comme il l'aurait fait avec une parfaite étrangère. Excepté des ordres, des remontrances et des remarques blessantes, Alana n'avait pas droit à la moindre considération de sa part ; elle n'était, entre les mains de son père, qu'un objet, un pantin qui le protégeait et qui prenait, souvent, les risques à sa place. En effet, Daniel ne craignait pas le moins du monde de mettre la vie de sa fille en danger ni même de la soumettre au sortilège de l'Imperium. Il se moquait bien de la faire souffrir, de lui voler « sa vie sociale » comme le répétait souvent son épouse. En effet, Emily était totalement contre la façon dont agissait son mari. Mais il se moquait bien de tout ce qu'elle pouvait dire, d'une part, parce qu'elle était une femme, et d'autre part, parce qu'il était bien plus doué qu'elle en matière de magie. Qu'est-ce que ça pouvait bien changer qu'elle soit du beau sexe et qu'elle n'excelle pas pour lancer des sortilèges ? Tellement de choses dans une famille telle que celle des Meersch ... beaucoup trop de choses ...
En tant que femme, Emily n'avait jamais eu, et n'aura jamais aucun pouvoir sur les décisions de son mari. C'est chose courante dans les familles de sang-pur telles que celle des Meersch que de laisser l'autorité à une seule et unique personne : l'homme, et ce, d'autant plus dans le cas de ce couple, lorsque le mâle fait preuve d'excellence, de perfection même, dans l'art de la magie, tandis que la femme exécute difficilement un sortilège un peu plus complexe que d'ordinaire. En effet, Daniel était doué, extrèmement doué. Depuis toujours, il présente des capacités extraordinaires en matière de magie, alors laisser sa femme prendre une quelconque décision alors qu'elle ne sait même pas préparer une potion convenablement !? Impensable. D'autant plus qu'Emily, il ne l'a pas choisi, loin de là. On lui a imposé le mariage avec cette femme, cette personne qui a évolué avec lui à Poudlard, des années auparavant, et qui lui vouait une admiration sans borne à cette époque. Emily, cette jeune fille sans personnalité, sans but aucun dans la vie que celui d'être riche, connue et admirée ; une femme sans ambition autre que la popularité et le confort ; le genre de personne que Daniel n'a jamais pu apprécier, lui, preneur de risque, homme d'action, vouant un culte à la magie noire, espérant l'extinction de la race de sang-de-bourbe, désirant la puissance, n'hésitant pas à tuer, à malmener, à utiliser pour arriver à ces fins ; il n'avait rien en commun avec cette adolescente aux désirs futiles. Mais le mariage était inévitable : les deux familles, Meersch et Van Der Grobtchen avaient prévu cette union depuis des années, et personne, ne pouvait s'y opposer. C'est une des raisons pour lesquelles la vie n'a jamais vraiment été agréable à aucun des membres de la famille. Et pourtant, en apparences, les Meersch paraissent si heureux, si unis, qu'on a du mal à comprendre que la vérité soit toute autre.

La famille Meersch reçoit constamment et est reçu constamment. Emily organise des bals, des brunchs, des banquets, où toute la haute société magique est conviée - ou presque. La jeune femme n'est jamais à cours d'idée pour se faire bien voir de tous et dépense beaucoup plus d'énergie à entretenir son image qu'à s'occuper de ses fils et de sa fille. Quoique pour elle, rechercher le meilleur parti pour ses enfants est la plus belle chose qu'elle puisse leur offrir. En effet, elle qui a toujours rêver d'atteindre une place dans la société aussi importante que celle qu'elle possède actuellement, elle imagine forcément qu'Aaron, Justin et Alana désir la même chose. Ainsi, depuis leur plus tendre enfance, elle les expose à la vue de ses invités ou de ses hôtes pour qu'ils constatent leur beauté et découvrent leurs qualités, que, de son côté, elle ne cesse de vanter. C'est ainsi qu'elle a dégoté à Aaron un très bon parti : une jeune fille actuellement en 7ème année à Poudlard, belle, riche, et bien évidemment, l'indispensable, descendante d'une très grande lignée de sang-pur. Emily n'a pas encore trouvé l'épouse idéal pour son second fils, mais ceraines de ses grandes amies lui ont bien fait comprendre que si elle était intéressée, elles n'hésiteraient pas un instant à fiancer leur fille à Justin. Emily ne s'inquiète pas outre mesure à ce sujet. A la fois beau, intelligent, doué et doté d'un grand coeur - contrairement à Aaron - Justin n'a qu'à claquer des doigts pour trouver une épouse ; mais, evidemment, Emily doit confimer son choix. C'est en effet la seule chose qu'elle dirige plus que son époux : le mariage de ses enfants. Il faut dire que Daniel se moque bien de savoir avec qui ses fils ou même sa fille passeront leur vie du moment qu'il s'agit d'un descendant d'une lignée de sang-pur. Le reste lui importe peu ! Et cependant, il donna malgré tout son avi concernant le futur époux d'Alana. Cette dernière ne le sait pas encore, mais sa mère vient tout juste de choisir pour elle le garçon qui partagera sa vie ... Il n'est pas certain que la jeune fille apprécie l'élu, mais dans tous les cas, elle n'aura pas son mot à dire. Aaron lui même n'a pas pu contester le choix de sa mère, alors ce n'est sûrement pas elle, pauvre petite adolescente, qui s'opposera à une décision aussi importante dans une famille de sang-pur que celle du mariage ...

mais, qui sait vraiment ce que réserve l'avenir ?

Alana sait très bien que comme tout enfant d'une famille de sang pur - ou presque - elle devra un jour faire face à cette histoire de mariage, mais Justin n'étant pas encore fiancée, elle ne s'attend pas à y être confronté aussi rapidement, même si ça lui fait peur depuis déjà des années. Mais ayant constamment des problèmes plus concrets à régler, des menaces plus insistantes à éviter, elle a reléguer cette idée de fiançaille au second plan. En effet, son futur époux, elle ne l'a pas encore sur les bras, mais ses frères, ils sont sans cesse à ses côtés. Aaron, Justin, Justin, Aaron ... elle n'en peut plus. Jumeaux, inspérables durant leur deux premières années malgré leurs différences, ils réalisèrent bien vite qu'ils étaient plus faits pour se détester que pour s'apprécier. L'opposé l'un de l'autre, ils ont pourtant un trait de caractère commun : l'envie de vengeance. Ainsi, dès l'âge de six ans, ils virent en Alana un instrument idéal pour atteindre leurs objectifs. Aaron allait même plus loin ; il considéra très vite sa soeur comme un objet, une poupée, une marionnette. Il agissait avec elle de façon souvent différente, mais toujours avec cette lueur malveillante dans le regard ; un jour il la frappait, le lendemain il la caressait. Alana ne savait jamais à quoi s'attendre quand elle se retrouvait coincée dans la même pièce que lui ; mais une chose était certaine, elle essayait, par tous les moyens possibles, de lui échapper. C'est d'ailleurs ainsi que sa manifesta pour la première fois son don pour la magie. Aaron la tenait fermement contre un mur. Elle avait sept ans, il en avait seulement douze, mais déjà, il la terrorisait. Elle ne savait pas ce qu'il avait l'intention de lui faire, mais elle voulait absolement lui échapper. Elle ne sut pas pourquoi ça ne marcha que cette fois-ci, mais brutalement, sans qu'elle s'y attende, Aaron fut projeté contre le mur du fond avec une telle force que les murs en tremblèrent. Paniquée, Alana hésita d'abord à s'enfuir, puis elle finit par prendre ses jambes à son cou ; elle alla s'enfermer dans sa chambre et y resta cloîté jusqu'au lendemain.
Avec ses frères, Alana vivait un enfer. Elle tremblait devant Aaron tandis qu'elle n'hésitait pas à se réfugier dans les bras de Justin. Mais dans tous les cas, l'un comme l'autre tentait à un moment donné de l'utiliser pour assouvir une vengeance ou un simple désir ; c'est pourquoi Alana finit par les éviter tous les deux. Elle ne supportait pas être menacé par Aaron et ainsi obéir à ses caprices juste pour éviter de souffrir encore plus par la suite, et elle n'acceptait pas non plus le fait que Justin la prenne par les sentiments. Elle se tenait le plus loin possible d'eux. Ainsi, lorsqu'ils entrèrent à Poudlard, elle fut tranquille. Elle n'avait plus que ses parents et leurs caprices à supporter. Mais pendant les vacances, c'était un enfer. Alors son entrée à Poudlard, vous imaginez ? Ils ne la lâchaient jamais. Elle vivait dans la terreur toute l'année, et le pire était qu'elle ne devait rien laisser entrevoir à personne. Mais désormais, ses frères ne sont plus là. Ca fait déjà deux ans, mais elle a toujours peur de tomber sur Aaron au détour d'un couloir, d'entendre sa voix, de sentir sa main appuyer sur sa gorge ... Mais peut être qu'elle va enfin réussir à se libérer de cette emprise familiale étouffante, qui sait ?

Au cours des derniers mois, Alana était souvent en compagnie de Sophia, une jeune fille de Serpentard. Elles n'étaient pas amis, loin de là, mais toutes deux entretenaient une relation privilégié avec Peter Owlsey, et le plan que le jeune homme était en train de mettre en place les rassemblait. Alana, dès qu'elle avait appris de la bouche de Peter qu'il avait décidé de percer le vrai mystère de la chambre des secrets n'avait pas hésité une seconde à lui proposer son aide. D'une part, parce que Peter comptait pour elle plus que n'importe qui, et d'autre part, parce qu'elle entretenait, comme lui, une réelle passion pour son ancêtre. Alana était donc mêlée à cette expédition. Mais alors, pourquoi n'était-elle pas avec eux ce jour-là ? Pourquoi n'est-elle pas morte avec les quatre autres ? Parce que cette nuit là, quand elle s'était levé discrètement vers quatre heures du matin pour rejoindre ses « camarades », son grand frère, Aaron, a déboulé dans la cuisine tandis qu'elle était sur le point d'enfourcher son balai volant. Dès qu'elle le vit, Alana comprit qu'elle était condamnée à passer sa journée entre ses mains ; les autres allaient devoir se débrouiller sans elle. Elle tenta malgré tout d'échapper à l'emprise de son frère, mais rien n'y fit, il la saisit par le poigné et la monta dans sa chambre où il se défoula sur elle comme jamais. Terrorisée, Alana subit les sévices de son frère sans rien dire ; de toute façon, elle ne pouvait pas y échapper. Le lendemain, lorsqu'elle vit l'exemplaire de la Gazette du Sorcier posé sur la table de la cuisine, elle faillit avoir une attaque. Ils étaient portés disparus !? Impossible. Peter avait du découvrir quelque chose qui nécessitait du temps. Alana s'accrocha à cette idée, mais il fallut se rendre à l'évidence, tous les quatre avaient disparus ; ils étaient morts. La jeune fille eut beaucoup de mal à accepter l'innacceptable. L'idée de ne pas être auprès de Peter à Poudlard l'angoissait. Elle veut oublier, mais tout le monde ne parle que de ça. Doit-elle dire ce qu'elle sait ou tout garder pour elle ? Elle n'a aucune idée de la façon dont elle doit agir, mais avec toute l'agitation qu'il y a autour de cette histoire, il ne serait pas étonnant qu'elle finisse par craquer ...

**─ Admin & Préfète ─** ─ Sixième Année ─

Bienvenue! Bon courage pour l'écriture de ta fiche Smile

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

Welcome ^^

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

M

J

**─ Admin & Préfète ─** ─ Sixième Année ─

Joooosh ? (a) C'est ton tour!

**─ Fondateur & Préfet ─** ─ Sixième Année ─

Abyyyy ? Ah oui, tout à fait Alana Meersch. terminée. 17967

Je m'en occupe =D Bienvenue mademoiselle (;

**─ Maître du Jeu ─** ─ Non Player Character ─

Bienvenue à Poudlard, Alana !

Hum... Tu es ambitieuse n'est-ce pas ? Je voies dans ton esprit que tu possèdes également une malice et une habilité qui te feront aller tout droit à Serpentard !

Maintenant que tu es validée, tu peux aller ouvrir une fiche de liens, des demandes de RP's ou bien encore aller t'assoir sur un bon gros fauteuil de ta salle commune, en compagnie de tes camarades. Tu peux bien sûr maintenant discuter avec tes amis librement et déambuler dans les couloirs de Poudlard à ta guise sauf durant la nuit, naturellement... Sache que les préfets et les professeurs y veillent au grain et que tu risquerais perdre des points ou prendre une retenue, si l'on te trouve... Une dernière chose ; cette année à Poudlard nous avons à faire à des évènements... troublants. Alors fais attention lorsque tu es seul, qui sait ce qu'il pourrait t'arriver... Amuses-toi bien sur Thalamus Abditus !

Avis ! Nous recrutons des élèves pour faire parti des équipes de Quidditch !. Venez vite, le Quidditch est un sport génial, et il est rare de voir autant de places libres ! Si tu es tenté mais que tu ne sait pas comme on joue, je te conseille de te rendre sur le terrain, quelqu'un pourra surement te renseigner !

Bien, puisque je vois que tu as l'âge, tu as le droit de te promener à Pré-au-Lard lors des sorties organisées par l'établissement, si tu certifie à un Administrateur, en signant cette attestation, et en lui ramenant par MP, que tu as le droit d'aller visiter ce pittoresque village. N'oublie pas que ces visites sont un privilège, et que si ton comportement nuit à la réputation de l'école, ce privilège ne te seras plus accordé.

Code:: [i]Je soussigné VOTRE PSEUDO, autorise VOTRE PSEUDO à se rendre dans le village de Pré-au-Lard lors de sorties organisées par l'école de sorcellerie Poudlard, seul ou accompagné.

SIGNATURE[/i]

Je vois que tu es assez grand pour être préfet, félicitations ! Dépêche-toi tant qu'il reste des places, tu pourras avoir un œil supérieur sur les étudiants de Poudlard... Utilise ce pouvoir à bon escient, bien sûr !

L'an dernier, tu as passé tes BUSEs. Merci de bien vouloir enregistrer les notes que tu as obtenues ici, afin que nous puissions savoir quelles matières tu continues, ou pas. Tu ne pourras être complètement validé sans ces résultats !

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

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