charlotte ; fini ! =P

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

Foster
Charlotte Kelly

Feat. Taylor Momsen

B E G I N N I N G

■ nom ; Foster.
■ prénom ; Charlotte Kelly.
■ âge ; Quinze ans.
■ date de naissance ; 28 Juin 2o45.
■ habitat ; Charlotte vit en Europe, en Angleterre plus précisément. Elle vit dans une maison très... pitoyable. Elle a une grande famille et n'a jamais eu vraiment beaucoup de gallions ni même de noise, voyez-vous ?
■ statut de sang ; Sang-Mêlé.
■ composition de la baguette ; Bois de Houx - Crin de licorne - 25,2 cm.
■ maison/poste convoité(e) ; Poufsouffle plairait assez.
■ épouvantard ; Un chien.
■ patronus ; Un joli lièvre.

(c) Sixtine

C H A R A C T E R

■ physique ;

Je ne croirais pas me tromper en disant que Charlotte est jolie. Elle a ce petit quelque chose qui fait qu’elle rayonne plus que d’autres. On dit souvent qu’elle est le sosie de sa grand-mère et ce n’est pas faux. En fait, elles sont vraiment pareilles. Comme si elles étaient des jumelles divisées. Charlotte est une blonde naturelle. Elle n’a pas les cheveux très longs, par contre. C’est à peine s’ils lui touchent les épaules. Il lui arrive de s’attacher des mèches de cheveux, comme le font les moldus vous savez ? Non ? Bon, ce n’est pas important. Les yeux de la blondinette sont bleus, comme la plupart des autres blondes. Pourtant, lorsqu’on l’a regarde droit dans les yeux, on peut facilement être déstabilisé. Si Charlotte ne communique pas toujours par la parole, elle s’en remet très souvent à son regard ! La regarder dans les yeux, c’est comme lire dans un livre. Charlotte n’a jamais de secrets pour personne, ses yeux la trahissent toujours. En réalité, la jeune femme a un visage qui ressemble de près à un visage de poupée. Un visage juste assez rond, un nez pas trop gros, de grands yeux bleus et une jolie bouche. Elle n’est pas très grande, mais elle n’a que quinze ans, elle a encore le temps de grandir, n’est-ce pas ? Enfin, elle espère, parce que du haut de son mètre soixante, elle voit souvent le monde du bas. Sinon, Charlotte n’est pas très grassouillette, dirons-nous. En fait, elle est tout sauf ça. Même que parfois, elle se fait accuser d’être un peu trop maigrichonne. Ce n’est pas de sa faute si elle a un appétit de mouche, non ?

■ caractère ;

S’il y a une femme qui n’est pas difficile à cerner dans ce bas-monde, c’est Charlotte. Elle est d’une simplicité étonnante. Il n’y a que trois choses qui comptent à ses yeux; la famille, l’école et les amis. Trois choses qui constituent sa vie entière. Elle se fout du reste, tant qu’elle a tout ça; elle est comblée. Par contre, la blondinette a du mal à donner sa confiance. Elle a donc un entourage très restreint autour d’elle, et cet entourage serait encore plus restreint si elle n’avait pas une si grande famille. Puisque oui, la jeune fille à une famille très grande et jamais elle ne s’en plaindrait. Elle a toujours eu une grande joie à vivre parmi tant de gens au quotidien et elle y a été habituée ainsi. Par contre, naître dans une grande famille offre des avantages ainsi que des désavantages. La jeune femme n’a pas un caractère faible. Toujours prête à dire ce qu’elle a sur le cœur, et à le crier surtout, elle s’enflamme assez rapidement. Elle déverse ses émotions d’un coup, comme pour se débarrasser d’un poids et elle redevint aussitôt paisible par-là suite. Elle regrette souvent ses crises qu’elle fait, pour une simple remarque ou même un regard, mais elle n’y peut rien. Elle s’excuse le plus vite possible lorsque ça lui arrive, mais elle ne se laisse tout de même pas marcher sur les pieds. Si elle voit que la personne méritait cette crise, elle ne se gênera pas pour lui claquer la porte au nez après ! Les larmes montent souvent aux yeux de la blondinette, même si elle hait lorsqu’on la voit pleurer. En fait, vous l’aurez compris; elle est très sensible. La jeune femme est très difficile à rendre impatiente. Si elle attend quelque chose, elle l’attendra jusqu’à ce qu’il arrive et ne s’impatientera pas. Ce qui surprend toujours de sa part, elle qui s’énerve si rapidement fait preuve d’une patience très surprenante ! Charlotte est fière d’elle-même et positive le plus souvent possible. Même si parfois, elle penche sur le pessimisme, elle s’efforce de trouver un côté positif. S’il y a une grande lacune chez la jeune femme; c’est les études. Elle y met toute sa bonne volonté, elle adore les cours et apprendre, mais dès qu’elle arrive devant un parchemin ou en examen, elle perd tout ses moyens. Elle n’arrive plus à rien faire et souvent ses notes sont pitoyables. S’il y a un cours où elle excelle; c’est le cours de soins aux créatures magiques. Le seul cours où elle est absolument sûre d’elle. Plus tard, elle aimerait bien faire dans ce métier, voyez-vous ? Soignez des créatures de toutes sortes, ça doit être amusant ! Finalement, la jeune femme n’est pas rancunière pour un sou. Si sa confiance est difficile à gagner, elle est difficile à perdre aussi. C’est un peu comme un problème chez elle, elle n’arrive tout simplement pas à se séparer des personnes qu’elle aime. Elle est d’une loyauté impressionnante et ne trahira jamais quelqu’un qu’elle aime. Ce serait contredire tout ses principes !

S T O R Y

■ histoire ;

Pour la troisième fois de la journée, je regardai mon frère avec un regard noir. Son regard, à lui, était suffisant, il semblait bien content de m’avoir mit en colère ! Enfin, ce n’était pas surprenant. Allez savoir pourquoi, mais il était toujours à me faire des blagues idiotes et à me faire des remarques stupides. Ça ne me dérangeait pas tant que ça, mais ça m’énervait quand même… Ahhh ce que c’est compliqué ! En gros, vous pouvez vous faire l’idée d’une relation frère et sœur dans les règles. On s’embêtait pour démontrer notre amour, c’est comme ça. Mais voilà. Là c’était une de ses blagues les plus nulles et j’étais réellement fâchée. Je tentais de lui faire mes yeux les plus noirs et je me retenais de ne pas lui donner un coup pour qu’il change d’air ! Mon frère à fêter son quinzième anniversaire cet été, il va donc entamer sa cinquième à Poudlard bientôt. Moi, je ne vais même pas encore à Poudlard. Je reste à la maison comme une idiote. Je n’ai pas encore les onze ans, en fait je suis même très loin du compte. Je vais fêter mes sept ans à la fin de l’été. Bien sûr, mon grand frère sait comme j’attends le jour de mon onzième anniversaire avec impatience ! Mais la chose que j’attends le plus, c’est d’avoir ma première baguette, qui viendra avec la rentrée scolaire. Mon frère le sait, il lui suffit de voir mon regard lorsqu’il sort la sienne. Bien sûr, il m’a fait une blague complètement bête à ce propos en ne parlant que de la rentrée et en demandant à maman une nouvelle baguette. Bien sûr, la sienne n’avait absolument rien et était en parfait état. Maman refusa, étant elle-même au courant de ce fait, mais il n’en restait pas moins que je savais bien pourquoi il avait fait cette demande.

« T’es vraiment… méchant. Aussi méchant qu’un Troll ! » dis-je de l’une de mes insultes fabriquée sur le coup. Je savais bien qu’un troll était beaucoup plus idiot que méchant…
« Moi aussi je t’adore, sœurette. » me répondit-il avec un large sourire.

Je tentai de le foudroyai du regard, mais ma tentative ayant échoué, je me levai plutôt de la table où j’étais assise et je quittai la cuisine. Puisque oui, j’étais dans la cuisine, assise devant un jus de citrouille. Je ne pris même pas mon jus de citrouille, je le laissai plutôt sur la table. Je marchai jusqu’au séjour et j’observai mes deux sœurs qui faisaient toutes les deux des choses différentes. L’une écrivait sur un parchemin, sans doute une lettre pour une personne que je ne connaissais pas et l’autre jouait avec une baguette en plastique qui ne faisait pas grand-chose à part se transformer en souris. J’allai voir celle qui jouait et je m’assis à ses côtés, toute colère disparue. Je n’étais pas la plus jeune de la maison, j’avais une sœur et un frère plus jeune. Mon frère dormait sans doute, comme la plupart du temps, mais mon autre sœur n’avait qu’à peine trois années de différence avec moi et elle était toujours comme ma meilleure amie. D’accord, elle n’avait que trois ans à ce jour, mais je l’adorais quand même. Je jouais avec la baguette qui s’était transformé en souris, tout aussi en plastique que la baguette bien sûr. Je tentais de lui redonner sa forme initiale, mais tout ce que je réussissais à produire, c’était un « couik couik » venant de la souris. Je la regardai une dernière fois avant de la rendre à ma sœur et d’aller voir ma grande sœur. Elle allait entamer deuxième année, elle. Je me penchai par-dessus son épaule pour voir ce qu’elle écrivait. Malheureusement, je ne percevais absolument rien de là où j’étais et elle me congédia dès qu’elle me remarqua. Pfff ! Je décidai d’aller me réfugier dans ma chambre, le seul endroit où je pouvais être seule dans cette maison de dingues.

Je montais les escaliers lorsque j’entendis des pleurs si faibles que je pensai sur le coup que j’avais rêvé. Je m’approchai du bruit et je compris alors que c’était mon petit frère qui geignait. Ma mère n’avait peut-être pas remarqué. Je poussai la porte de sa petite chambre et j’allai le voir près du berceau. Je n’avais pas à me penché pour le voir, il était juste à ma hauteur. J’entrepris alors de le consoler moi-même. Je le pris doucement et je tentai de le bercer dans mes bras, c’était déjà peine perdue ! Déjà qu’avec ma force qui avait l’équivalent d’une mouche, il était très lourd, mais en plus j’ignorais comment j’étais censé le bercé. Moi qui m’attendait à une crise de larme qui alerterait toute la maisonnée, moi qui tenait mon frère si mal que j’avais les bras croisés et que je ne pouvais pas du tout les décroisés… Moi, j’avais réussi à le consolé. Plus aucune larme ne venait à mes oreilles et je crus pendant quelques secondes que j’avais les oreilles bouchées. Le bébé me fixait de ses grands yeux bleus, identiques au miens comme par hasard. Il ne semblait pas prêt à dormir, par contre ! Je continuai à faire ses mouvements maladroits qu’il semblait bien aimer. J’entendis alors quelqu’un monté les marches très rapidement et entré dans la chambre. Ma mère était restée bouche-bée en me voyant tenir le bébé. J’allais ouvrir la bouche pour lui dire que j’étais désolée qu’elle posa un index sur sa bouche et montra mon frère avec les yeux mi-clos. Elle m’encouragea à le déposer et c’est ce que je fis, le plus doucement que je le pouvais. Je suivis ma mère à l’extérieur de la chambre de mon frère et je la fixai de mes grands yeux bleus, attendant un quelconque commentaire. Elle me regarda et me fit un drôle de sourire. Un sourire qui semblait être un mélange de joie et de tristesse. Je devais avoir une sacrée expression sur mon visage ! J’étais tellement abasourdie. Pourquoi elle était triste, hein ? Je l’avais blessé ? Qu’est-ce que j’avais fait de mal ? Toujours avec cette expression bizarre, ma mère ouvrit la bouche et prononça des mots qui me laissèrent sous le choc…

Je ne les ai jamais oublié ces mots ! « Tu feras une si bonne mère plus tard… » Voilà ce qu’elle m’avait dit. Moi une bonne mère ? J’avais dût regarder ma mère avec une tête de totale surprise lorsqu’elle m’avait sorti ça ! Je regardai une dernière fois les pages de mon journal. Chaque jour depuis que je savais écrire, j’avais relaté mes journées dans la plus grande précision possible. Souvent, c’était bien ennuyant, mais j’adorais les relire parfois… Lorsque je m’ennuyais, ou que ma famille me manquait. Je trainais ce journal avec moi partout où j’allais. Enfin, j’évitais de l’emmener en cours. Manquerait plus que le professeur me le confisque ! Bon, je me permettais parfois de l’emmener lors des cours d’histoire de la magie, ce n’est pas comme si le professeur Binns allait le remarquer. Ce journal contenait ma vie entière. J’y relatais encore aujourd’hui mes journées. Ma vie n’avait jamais rien eu de passionnant. J’avais grandi dans une famille aimante avec mes deux parents et je n’ai jamais manqué de rien. Parfois, le tout était plutôt restreint. Je n’étais pas du tout gâtée, on s’entend ! Mais je crois que c’est comme ça que j’ai aimé grandir. Avec la certitude que j’étais avec des gens qui avaient les pieds bien sur terre. On ne peut pas passer sa vie dans les nuages, je l’ai toujours sût. Ça explique peut-être la raison pour laquelle j’ai toujours été mature. Même si, parfois, je perds cette maturité, je me permets quand même de dire que je le reste pas moins ! Bien entendu, la journée la plus longue de tout mon journal est celle de ma rentrée à Poudlard. Je n’avais jamais eu un si grand mélange d’appréhension et de bonheur. Tout ce que je voulais, c’était d’entrer dans le Poudlard Express et d’enfiler ma robe de sorcier toute neuve ! J’avais bien hâte de connaitre mes nouveaux compagnons de classes, aussi. Mon père m’avait dit de me méfier des Serpentards. Il ne les avait jamais vraiment aimés. Bon, il me l’avait glissé discrètement parce que tout près de nous, il y avait justement une famille qui, je pouvais le parier, était très fière d’avoir trois petits Serpentards dans ses rangs. Je les avais dévisagés comme s’ils venaient d’une autre planète et j’avais fait un énorme sourire à mon père…

« Ne t’inquiète pas Papa, je ne ferai rien avec des serpents ! » lui avais-je répondit avec mon énorme sourire.

En réalité, je mentais un peu. J’avais bien l’intention de connaitre des Serpentards. Peut-être que pour certains ils constituaient le mal, mais j’étais certaine qu’il y avait quelque chose de plus en eux. Je pouvais parier que je pourrais m’entendre avec eux, même si ma place n’était pas vraiment parmi eux. Non, moi je voulais Poufsouffle, comme Papa. Maman était allée à Serdaigle, mais je me voyais à Poufsouffle. J’adorais déjà cette maison. Je tenais à y être. Ma famille avait toujours été très divisée entre Serdaigle et Poufsouffle. Parfois, il y avait quelques rouges et ors dans nos rangs, mais rares étaient les Foster qui avaient entré à Gryffondor. De toute façon, ça ne m’intéressait pas plus que ça Gryffondor, ils m’énervent un peu ceux-là. Je le savais, l’un de mes frères en est un. J’avais ensuite entendu le sifflement du Poudlard Express et j’étais montée dans le grand train rouge pour la première fois.

« Poufsouffle ! » avait annoncé le grand chapeau posé sur ma tête qui avait chanté une chanson un peu plus tôt.

J’étais soulagée d’apprendre que j’allais dans la maison du blaireau. J’en étais tellement heureuse ! J’étais aussitôt allé rejoindre la longue table et je m’étais assise avec les autres. Je n’étais pas aussi mal à l’aise que j’aurais dût l’être. Non, en fait, j’avais totalement eu le cœur à la fête et c’était avec une grande joie que j’avais accueillit la nourriture sur ma table. Je ne connaissais personne, mais je me présentais à tous ceux qui croisaient mon regard avec une magnifique décontraction. J’avais longuement patienté, j’avais longuement attendu de pouvoir enfin entrer

D E R R I E R E . L . E C R A N

■ prénom/pseudo ;

Audrey.

■ âge ;

Quatorze ans.

■ présence ;

Trois sur sept. Mais, c'est en supposant que j'sois crevée les quatre autres jours. *-*

■ comment trouvez-vous le forum ? ;

Magnifique. o.o

■ codes ;

Thalamus Abditus ; La magie, à jamais..

■ autre ;

si quelqu'un pouvait m'expliquer les racines cubiques... *BAFF*

Dernière édition par Charlotte K. Foster le Ven 11 Sep - 1:03, édité 14 fois

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

Welcooooome =D

Taylor <3

**─ Admin & Préfète ─** ─ Sixième Année ─

Taylor

Bienvenue! Et bon courage pour l'écriture de ta fiche. (:

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Welcôme =DD

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

**─ Fondateur & Préfet ─** ─ Sixième Année ─

Bienvenue et félicitations pour ta fiche (;

Le choixpeau passera te valider dans quelques instants...

**─ Maître du Jeu ─** ─ Non Player Character ─

Bienvenue à Poudlard, Charlotte !

e vois en toi une grande patiente... Un gout du travail très avancé et une loyauté infaillible... Oui, ta volonté de justice ainsi que toutes tes qualités feront de toi une parfaite Poufsouffle !

Maintenant que tu es validé, tu peux aller ouvrir une fiche de liens, des demandes de RP's ou bien encore aller t'assoir sur un bon gros fauteuil de ta salle commune, en compagnie de tes camarades. Tu peux bien sûr maintenant discuter avec tes amis librement et déambuler dans les couloirs de Poudlard à ta guise sauf durant la nuit, naturellement... Sache que les préfets et les professeurs y veillent au grain et que tu risquerais perdre des points ou prendre une retenue, si l'on te trouve... Une dernière chose ; cette année à Poudlard nous avons à faire à des évènements... troublants. Alors fais attention lorsque tu es seul, qui sait ce qu'il pourrait t'arriver... Amuses-toi bien sur Thalamus Abditus !

Avis ! Nous recrutons des élèves pour faire parti des équipes de Quidditch !. Venez vite, le Quidditch est un sport génial, et il est rare de voir autant de places libres ! Si tu es tenté mais que tu ne sait pas comme on joue, je te conseille de te rendre sur le terrain, quelqu'un pourra surement te renseigner !

Bien, puisque je vois que tu as l'âge, tu as le droit de te promener à Pré-au-Lard lors des sorties organisées par l'établissement, si tu certifie à un Administrateur, en signant cette attestation, et en lui ramenant par MP, que tu as le droit d'aller visiter ce pittoresque village. N'oublie pas que ces visites sont un privilège, et que si ton comportement nuit à la réputation de l'école, ce privilège ne te seras plus accordé.

Code:: [i]Je soussigné VOTRE PSEUDO, autorise VOTRE PSEUDO à se rendre dans le village de Pré-au-Lard lors de sorties organisées par l'école de sorcellerie Poudlard, seul ou accompagné.

SIGNATURE[/i]

Je vois que tu es assez grand pour être préfet, félicitations ! Dépêche-toi tant qu'il reste des places, tu pourras avoir un œil supérieur sur les étudiants de Poudlard... Utilise ce pouvoir à bon escient, bien sûr !