Ansem ▬ Let's go chase the sunset. »

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Engelshome
Ansem Xélézime

Feat. Oliver Sykes (L')

B E G I N N I N G

■ nom ; Engelshome. Et c'est long, inutilement long.
■ prénom ; Ansem et non, je n'ai pas qu'un magnifique prénom, j'en ai deux : Xélézime pour la suite. Moyenâgeux, mes parents avaient du goût. (Dois-je lever un panneau "sarcasmes" ?)
■ âge ; Seize ans. Et oui, j'ai l'air plus vieux. Mais on s'en fout. Si je voulais j'pourrais faire genre j'ai dix ans, alors ça va.
■ date de naissance ; 28 novembre 2044. Pourquoi ça t'intéresse ? Tu vas m'acheter un ours en peluche pour mon anniversaire ?
■ habitat ; Ma mère a eu la bonté de me mettre au monde en Islande, dans une petite ville au nom imprononçable. J'y ai passé mon enfance, dans une maison isolée sur une colline. C'était... Joyeux.
■ statut de sang ; Sang-Mêlé. Ma débile de mère a été se chercher un moldu à marier. T'y crois, toi ?
■ composition de la baguette ; Bois de sureau, ventricule de dragon. La taille ? Une minute, ma latte... Vingt-sept centimètres. T'es content ?
■ maison convoitée ; Slytherin, mais c'est pas comme si ça allait changer ma vie...
■ épouvantard ; Des fourmis. Un taaas de fourmis cannibales. Elles vont tous nous bouffer, c'est sûr. Haha.
■ patronus ; Une hyène. Rire malsain, nécrophage... Woaw, et c'est censé me protéger ?

(c) Créateur

C H A R A C T E R

■ physique ;

Le physique, c’est qu’une question de goût. Certains te diront que je suis super beau comme d’autres affirmeront que je suis tout bonnement affreux. Mais l’essentiel, c’est que moi, franchement, je me trouve très joli à regarder dans un miroir. De toute façon, je me fous de ce que pense les gens. Que je sache, on est dans une école de sorcellerie, pas d’esthétique. Et puis, si j’ai envie que des tatouages recouvrent la moitié de mon corps, c’est mon choix, pas le leur. D’ailleurs, ces tatouages font partie intégrante de moi. Je ne me vois plus sans, sérieusement. Peut-être que je le regretterais plus tard, mais pour le moment, ça me convient parfaitement. Et qu’importe qu’une rose rouge sang fasse efféminé, je t’ai pas demandé ton avis, il me semble. Beaucoup pense que je m’enlaidis tout seul. C’est qu’ils ignorent la tête que j’avais à sept ans, quand ma mère adorée me coupait elle-même les cheveux, pour finir par les raser parce qu’elle m’avait évidemment raté. Parlons-en de mes cheveux, ne sont-ils pas magnifiques, aujourd’hui ? Mi-longs, châtain foncé et tellement lisses que toutes les filles en sont jalouses. C’est important d’avoir une belle coiffure, dans la vie. Rien que cela peut vous faire entièrement changer. Les mèches rebelles, ça me va si bien, quoi. J’ai inventé mon propre style vestimentaire, aussi. Personne ne peut me ressembler à moins de me copier, c’est ça que j’aime. Un mélange entre punk, intello et classe, y’a que ça qui marche. Et un ou deux piercings au labret en accessoires, et voilà, les morveux n’osent même plus m’adresser la parole.

J’ai surtout blablaté sur ce que je devais entretenir, maintenant je peux raconter la patience qu’il m’a fallu pour devenir ce jeune homme absolument sublime. Je dois avouer que j’ai hérité d’une base pas mauvaise du tout. J’ai grandi rapidement, dépassant le mètre quatre-vingts à seulement quatorze ans, et n’ai jamais grossi énormément, même si j’étais doué pour avaler tout ce que l’on m’interdisait. En fait, je suis vraiment mince, c’est à peine si mes muscles se sont développés. Enfin, je m’en fiche de ça. Petit, on me répétait que j’avais un visage d’ange, c’est moins fréquent, à présent. Pourtant, j’ai gardé exactement les mêmes traits, doux et proportionnés, malgré l’adolescence. Celle-ci s’est bien sûr chargée de ma peau, j’ai eu moi aussi mon lots de problèmes de boutons et autres, mais ça m’est vite passé, heureusement. Sinon, détestant lézarder au soleil, pas fan de lumière pour un sou, je suis fort pâle et je préfère ça que d’avoir l’air d’un surfeur californien. La forme de mon minois est plutôt ovale, comprenant un front barré d’une frange, un nez droit et fin ainsi qu’un menton légèrement carré. Mes yeux sont verts au naturel, du pur poison concentré dans deux amandes aux cils marqués. C’est pratique, ça me rend flippant, il paraît. Mes lèvres sont aussi bien dessinées que celles d’une demoiselle qui a pris soin de se maquiller durant trente minutes. Il y a plein de détails qui me rapprochent des filles physiquement, j’ai souvent entendu la comparaison ou pire, je me suis vu de nombreuses fois confondu avec l’une de ces pestes. Du genre « Excusez-moi, mademoiselle, quel shampooing utilisez-vous ? ». Va chez l’oculiste, hmph.

■ caractère ;

Je ne suis pas gentil, je ne suis pas méchant, je suis juste indifférent face aux gens. Je peux m'intéresser à l'art, à la botanique, à la musique, au cours de métamorphose... Mais une personne me parle, je n'arriverais pas à l'écouter avec attention. Ou alors il faut être spécial. Mais c’est difficile d’être spécial à mes yeux aussi. Donc si tu ne veux pas souffrir, passe ton chemin. Sinon, dis-toi bien que je suis incapable de faire confiance à quelqu’un. Il me faut du temps pour ça, et souvent, on abandonne avant que ça n’arrive. J’ai du mal avec les sentiments positifs. L’amitié, l’amour, c’est le genre de choses que je ne comprends pas. Soit je ne fais qu’éviter ces gens qui m’évoquent cela, soit je ferme les yeux et fais semblant de ne pas tenir à eux. Je ne montre jamais ce que je ressens, pour moi, c’est une marque de faiblesse. Je n’ai besoin de personne, et ça fonctionne aussi dans l’autre sens : personne n’a besoin de moi. De toute manière, on n’a aucune envie de me demander de l’aide. Généralement, je fais peur. Je suis intimidant pour certains parce que je suis doué en tout, que tout ce que j’entreprends, je le réussis, que dès que je veux quelque chose, je l’obtiens dans la minute. Ma façon d’être emmerde les autres. Je suis trop ambitieux, trop sarcastique. Enfin, ça m’arrange qu’on me voit comme ça. Au moins, on ne vient pas me pleurer après. La seule fois où j’ai essayé de consoler quelqu’un, il s’est jeté par la fenêtre du onzième étage l’heure suivante. C’était pas ma faute, mais bon, je crois que je vais pas réitérer l’expérience. Je déteste que l’on s’immisce dans mes affaires. Je ne suis pas de ceux qui étalent leur vie partout où ils vont. Je n’exprime jamais rien d’autre que du mépris ou du désintérêt le plus vexant. Sourire à tout le monde, c’est débile.

J’ai dit que je n’étais pas méchant plus haut. Ça dépend de la situation. Je peux facilement l’être si l’on me suit comme mon ombre. Je déteste que l’on porte son attention moi, il y a des sujets plus palpitants, non ? Je ne supporte pas que l’on me taquine ou que l’on me tourne autour. Ça m’énerve beaucoup, et j’en deviens mauvais, voire sadique. Je te conseille pas de me chercher, sérieusement. Je ne frappe pas, j’ai pas assez de muscles. Mais même juste avec les mots, il y a moyen de raviver des douleurs très fortes, l’air de rien. Je trouve toujours le truc qui cloche, la pique qui s’enfonce droit dans ton cœur. Et si je lance ça sèchement, c’est pire. Je ne réfléchis pas à mes relations sociales, je vois toujours les choses d’un point de vue différent et pas très sympathique. Je suis un peu un anarchiste sur les bords, quoi, il m’est impossible de me conformer aux règles d’éthique et autres idioties. Il paraît que j’ai un vrai cœur de pierre, tant mieux. Je trouve l’être humain nul par défaut, comment je pourrais m’attacher à l’un d’eux ? Je dis que j’en ai marre de tout ce petit monde, mais au fond, celui que je hais franchement, c’est tout simplement moi. Je ne voulais pas de cette vie, voilà pourquoi je rejette ça sur les autres. Je suis incompréhensible, tu crois ? Bref, je n’aime pas parler pour ne rien dire. Je ne manipule pas, je suis sincère. L’éducation, la politesse, je n’en ai aucune. Pourtant, au final, je suis un être vulnérable caché entre quatre murs de béton. Je suis renfermé sur moi-même et incapable d’aimer qui que ce soit d’autre que moi. Oh oui, je suis narcissique et tout ce que tu veux. Je serais toujours le meilleur, coûte que coûte. Et tant pis si ça fait souffrir des gens, je m’en fous complètement.

D E R R I E R E . L . E C R A N

■ prénom/pseudo ;

Camille/Kami

■ âge ;

16 ans

■ présence ;

5/7

■ comment trouvez-vous le forum ? ;

Très yoli. <3

■ codes ;

Thalamus Abditus ; La magie, à jamais.

■ autre ;

*Câlin*.

Dernière édition par Ansem X. Engelshome le Sam 12 Sep - 19:12, édité 17 fois

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

MA CHOUTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

Ne t'aime <3 xDD

Welcommmeee

S'il est pas beau mon accueil x)

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Ansem ▬ Let's go chase the sunset. » 29948

**─ Admin & Préfète ─** ─ Sixième Année ─

Bienvenue! Bon courage pour l'écriture de ta fiche. =D
Aaanh Oliver Ansem ▬ Let's go chase the sunset. » 842219

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

Roudoudouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu Ansem ▬ Let's go chase the sunset. » 842219

Ansem ▬ Let's go chase the sunset. » 26391

Welcooooome *-*

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Ansem ▬ Let's go chase the sunset. » 17967

**─ Admin & Préfète ─** ─ Sixième Année ─

Ansem X. Engelshome a écrit:

Attends, il est trop beau

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

*calin *

Je veux nan j'exige un lien avec toi *-*

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Abygail J. Adamson a écrit:

Attends, il est trop beau

**─ Élève ─** ─ Cinquième Année ─

Oui c'est vrai roudoudou (aa)

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

S T O R Y

■ histoire ;

Ma mère, Whilelminée Engelshome était sorcière. Toute sa famille l’était, aucun n’était dépourvu de ce don, ou plutôt de ce fardeau, selon ce que moi, j’en pense. Les Engelshome vivait tous en Islande, cette île où il fait toujours froid, île de glace, comme on dit. Je porte son nom de jeune fille, je sais. Tout simplement parce qu’il est beaucoup plus prestigieux que le Snorri de mon cher père. Je ne devrais pas être autorisé à avoir ce patronyme, parce que les Engelshome ont renié leur fille, qui est ma génitrice, si t’as pas encore saisi. Je les comprends, ils ont dû être outré, déçu et vexé en apprenant qu’elle allait se marier avec cet imbécile de moldu. Je ne citerais pas son nom, parce que j’ai honte de lui et que je ne le considère pas comme mon père. Il ne le sera jamais. Ma mère est donc partie dans ce minuscule village paumé pour faire sa vie avec lui, et je suis né peu de temps après. Je n’étais pas du tout ravi de venir au monde, et je ne le suis toujours pas. On m’a arraché du ventre de madame Snorri alors que je n’avais que sept mois, oui, prématuré en plus. J’avais encore deux mois, mais non, il a fallu que ça s’écourte. Oh, tu l’as deviné, papa et maman étaient en-chan-tés. Forcément que j’étais le plus merveilleux des bébés du monde, j’étais le leur. Je n’ai jamais été de leur avis. J’étais affreux, plein de sang et je criais à plein poumons : « bande de cons, qu’avez-vous fait ??? ». Du moins, j’aurais bien voulu leur cracher ça dans la figure.

Mon enfance a été formidable, hahaha. Au final, j’étais la seule chose qui les obligeait à rester ensemble. Parce que oui, d’ores et déjà, ils ne s’aimaient plus. Je l’avais toujours su. Les parents de mes camarades de classe s’embrassaient, s’enlaçaient, buvaient chacun des mots de l’autre comme si c’était du Baudelaire et se jetaient des regards amoureux. Les miens, c’était tout le contraire. Ce qu’ils étaient censés faire l’un envers l’autre, ils me le faisaient à moi. J’étais constamment câliné, c’était à peine s’ils ne se battaient pas pour m’avoir dans les bras. Dès que je parlais, ils s’extasiaient devant ma logique implacable, quand je marchais, ils étaient émerveillés de me voir si habile sur mes deux jambes. Eux, ils ne se touchaient plus, c’était à peine s’ils s’adressaient encore la parole. Et puis, un jour, j’ai commencé à présenter des aptitudes pour la magie. Y’avait des accidents, quoi. Disons que ma colère se manifestait vraiment beaucoup autour de moi. Ma mère était super fier de moi, mon père lui était embêté par cela. Il ignorait comment éduquer un apprenti sorcier, tandis que ma mère, elle, elle savait. Il était convaincu que pour finir, j’allais m’attacher à elle et qu’elle se débarrasserait enfin de lui. Il avait bien raison. Un mois après le premier événement surnaturel, elle le pria de partir très loin de notre maison. Moi, aucun problème avec ça. J’étais prêt à faire « au revoir, papa, non, tu ne me manqueras pas ».

J’avais pas prévu la suite. Je n’avais que sept ans, quoi. Mon père a fait mine de quitter le village. Et il est revenu durant la nuit. Ma mère dormait, n’avait pas sa baguette sous la main et il l’a étouffée son oreiller qui était resté à côté d’elle. Elle s’est bien sûr débattue, poussant un hurlement ou deux quand elle réussit à se dégager. Mais ce n’était que passager et ça n’avait rien donné, excepté mon réveil. Je suis allé voir ce qu’elle avait, pieds nus, en pyjama, un lapin en peluche serré contre ma petite cage thoracique. Quand je suis arrivé, c’était trop tard. J’avais peur, évidemment. Je me demandais qui était cette silhouette noire penchée sur ma mère. Et quand il vint vers moi, je tremblai, jusqu’à ce que je distingue ce visage familier. Je fus rassuré, un peu, mais je me précipitai vers ma mère, pour lui dire qu’il lui avait désobéi. Je la découvrais blême, bouche et yeux grands ouverts. Je me reculai dans un coin de la pièce, mon lapin rose collé à moi. J’avais déjà compris, trop intelligent pour mon âge, sans doute. Mon père se rapprochait de moi à pas lents, murmurant des « n’aie pas peur, tout va bien » comme si ça avait une quelconque chance de fonctionner. Lorsque, soudain, il tomba la tête la première, raide comme une planche, son front fracassant le sol à cinq centimètres de mes pieds. Je portai alors mon regard sur un homme barbu d’une cinquantaine d’années, bien bâti, qui pointait une baguette dans ma direction. C’était lui qui avait prononcé un charabia pour immobiliser mon père. Celui-ci s’éveilla en prison le lendemain matin. Je préfère ne plus rien savoir de lui. Cet homme qui était venu me sauver, mais trop tard pour secourir ma mère, il s’agissait de mon grand-père, Amaël Engelshome.

Mère assassinée, père incarcéré, chez qui je vais ? Les grands-parents ! On peut pas dire que c’était la joie tous les jours. Niveau sévérité, c’étaient des rois. Doudous interdits, tu manges pas ta soupe, tu ne manges plus pendant deux jours et tu apprends l’histoire des sorciers les plus célèbres au lieu d’aller jouer avec les copains. Et puis voilà la lettre. Elle était présumée m’enthousiasmer comme ce n’était pas permis. Mais je n’étais pas un gamin normal, faut croire, ma seule réaction fut de la fixer sans l’ouvrir, attendant que quelqu’un le fasse à ma place. Je m’en fichais complètement. Ma cousine déchira l’enveloppe et la lut tout haut, devant toute la famille réunie. Moi j’étais assis sur une chaise, broyant du noir dans mon coin, les coudes sur le meuble et le menton posé sur mes paumes. Je ne voulais pas y aller, pas plus que ça. Poudlard, l’école des sorciers. Hahaha. Qui avait décidé que je devais apprendre à faire des tours avec une baguette magique ? Je n’avais rien demandé, à ce que je sache. Cependant, ma famille n’était pas du même avis. Si je n’étais pas du tout ravi d’aller dans cette école débile, eux l’étaient par extension. Et ça m’énervait. J’entrais donc en septembre dans cet établissement connu de tous les sorciers mais cachés à tous les moldus. Et oh, que je détestais ça.

Les années ont passé, les cours se sont enchaînés, et je m’ennuie toujours. Je n’ai pas l’impression de faire quelque chose d’utile dans cette école. Je suis doué dans la plupart des matières et je travaille à peine pour ça. Je n’y trouve aucun intérêt particulier. Mais enfin, je sens que la fin est proche. J’entre en sixième, plus que deux ans, et je pourrais partir définitivement de cet endroit. Attends, t’imagines ? Il y a plein d’histoires bizarres qui se déroulent sous nos yeux, et on sait rien de ce qui se passe. On est en danger, et on nous autorise quand même à rester là-dedans ? Hey ! J’veux pas mourir ici, moi. Beuuh.

**─ Élève ─** ─ Sixième Année ─

Désolé du double post, c'est pour dire que j'ai terminé. ^o^

**─ Maître du Jeu ─** ─ Non Player Character ─

Bienvenue à Poudlard, Ansem !

Hum... Tu es ambitieux n'est-ce pas ? Je voies dans ton esprit que tu possèdes également une malice et une habilité qui te feront aller tout droit à Serpentard !

Maintenant que tu es validé, tu peux aller ouvrir une fiche de liens, des demandes de RP's ou bien encore aller t'assoir sur un bon gros fauteuil de ta salle commune, en compagnie de tes camarades. Tu peux bien sûr maintenant discuter avec tes amis librement et déambuler dans les couloirs de Poudlard à ta guise sauf durant la nuit, naturellement... Sache que les préfets et les professeurs y veillent au grain et que tu risquerais perdre des points ou prendre une retenue, si l'on te trouve... Une dernière chose ; cette année à Poudlard nous avons à faire à des évènements... troublants. Alors fais attention lorsque tu es seul, qui sait ce qu'il pourrait t'arriver... Amuses-toi bien sur Thalamus Abditus !

Avis ! Nous recrutons des élèves pour faire parti des équipes de Quidditch !. Venez vite, le Quidditch est un sport génial, et il est rare de voir autant de places libres ! Si tu es tenté mais que tu ne sait pas comme on joue, je te conseille de te rendre sur le terrain, quelqu'un pourra surement te renseigner !

Bien, puisque je vois que tu as l'âge, tu as le droit de te promener à Pré-au-Lard lors des sorties organisées par l'établissement, si tu certifie à un Administrateur, en signant cette attestation, et en lui ramenant par MP, que tu as le droit d'aller visiter ce pittoresque village. N'oublie pas que ces visites sont un privilège, et que si ton comportement nuit à la réputation de l'école, ce privilège ne te seras plus accordé.

Code:: [i]Je soussigné VOTRE PSEUDO, autorise VOTRE PSEUDO à se rendre dans le village de Pré-au-Lard lors de sorties organisées par l'école de sorcellerie Poudlard, seul ou accompagné.

SIGNATURE[/i]

Je vois que tu es assez grand pour être préfet, félicitations ! Dépêche-toi tant qu'il reste des places, tu pourras avoir un œil supérieur sur les étudiants de Poudlard... Utilise ce pouvoir à bon escient, bien sûr !

L'an dernier, tu as passé tes BUSEs. Merci de bien vouloir enregistrer les notes que tu as obtenues ici, afin que nous puissions savoir quelles matières tu continues, ou pas. Tu ne pourras être complètement validé sans ces résultats !